vendredi 7 décembre 2012

comment t'oublier ?




Comment t’oublier ?
Alors que tu es mon rêve du passé
Où les jours m’emportaient loin de la réalité
Où les jours me transportaient aux rêves des génies

Comment t’oublier ?
Toi, qui dors en ce moment à l’abri de mon réveil
Que je crains ta pure flamme que tu portes au creux de tes péchés
Je vois que tes signes que je les remplace par des mots
Et dont je forme une partie de poésie

Oublierais-je, l’amour que tu m’avais donné ?
Que je pris Dieu de te les récompenser
Par un beau paradis au fond de l’éternité
Ou je te rend l’odeur d’un parfum que tu m’avais donné
A t’aromatisé avec l’effluve de tes qualités
A Te citer ma bonne épitaphe de ma générosité

Mon ami, mon bien aimé
Les nuages pleurent tes transparences
Le soleil éclaire tes nuances
Te transpercer au fond de la terre
Où l’âme devient libre à soi même
Ou la mer jaillie l’eau des larmes
Où les pierres deviendront ton oreiller
Où le sable devient ton lit émerveillé   

Comment t’oublier ?
Toi amour de mon passé
Qui déborde à tout moment à mes yeux
Te voir arraché de ton corps
De tes yeux, de ta jeunesse
De l’espoir de vivre.

Laisse moi donc te dire mon dernier mot

Je t’aime 

dimanche 2 décembre 2012

je cherche ces yeux bleus d'azur




Je cherche ces yeux bleus d’azur comme dans l’été,
Lorsque une larme y luit une étoile vers le ciel élevé  
Un sacré jour d’automne qu’on le voit que dans les prés
Il m’avait promis des tas de chose, que j’ai jadis oublié
En effet, il m’avait promit une rencontre dans un voyage sacrifié
Dans un jardins et les rivières comme dans les contes de fées
Qui courent autour de nos rivages, nous chantant l’été
Ces petites fillettes en bretelle chantent jusqu'à juillet
Ne savent dire que aimer à ces charmants mariés

Je cherche ces yeux bleus d’azur comme dans l’été
Dans les brouillards et les dunes, je crierais sans cessez
Son nom qui m’échappent qu’une fois mariée  
Avec cette dame de mes voisinages, qu’elle me croit tant l’enviait
C’était certes l’homme de mes rêves, qui partent en toute éternité
Avec cette femme en hiver, et vers le beau temps d’été
Dans des endroits de ses promesses qu’il m’a tant révélé
Tout était si beau à nos jours même s’il gelait  

Je l’aime c’est vrai, je l’avoue, je ne t’oublierais jamais