Le Salut
fut traversé par des rayons de soleil qui luit à sa
présence, son regard me traverse l’esprit comme le tonnerre et la pluie se rassemblait,
donnant une euphorie à mon cœur, mon regard vers cette mer excitée, la houle
des vague dansante des milliers de danse sans s’arrêter, me ramena jusqu’à l’évasion
des mers… est-ce un ravage à cet égard ? Me demanda ma conscience
Je reste à ma question abandonnée, circonspecte et réfléchie…
voilà que l’été me touche avec pleins d’idées, des souvenirs et des abattements
sans raison, sans réponse, ni clémence…
Qui sait qu’il me
salut aussi, qui sait qu’il cherche mon regard dans cette pluie,
Qui sait qu’il m’aime comme je l’aime aujourd’hui….
Le temps révolte, la flamme continue à agir, l’amour tue l’amour,
et nous resterons victime de ce crime de la vie, beaucoup emprisonnent l’amour
au fond de leurs cœurs et feintent de ne plus l’appartenir, mais moi j’aimerais
révolter ce sentiment au prés de ce regard abandonné…
Libre, libre d’imagination, sans geste ni mot exacte, je
reste pointue dans ma triste espérance, pourtant sans conscience, tout ne
serait que transparence, la mer est ainsi, libre sans frontière, riche et
large, me semble-elle évidente de la traversée, même inaccessible sans canot,
Toute la misère du monde nous traverse à l’instant d’amour, à
croire à ce salut, qui vient qu’à l’aube
du jour… c’est un instant fragile… que ne nous le voyons pas tous les jours,
mais une fois vu, il nous laisse écouter nous même, d’un cœur qui bat de joie, même
quand on est triste, on se souvient que
de nos plus belle voie… est ce un miracle, un prodige ?
On exploit l’ordinaire,
on oublie la peine… on croit à l’amour comme la première fois…
C’est toujours la première fois quand on est amoureux, on s’approche
et on s’éloigne, on tremble, on meurt, on croit le matin, on désaccord le soir,
on s’oublie, on s’efface, ce n’est qu’un pas de vent, la nature exigeante, c’est
la vie… c’est la vie
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