samedi 22 septembre 2012

quelque notes de piano



Quelques notes de piano
Quelques refrains éternels…
S’en frasent en cris d’amour

Musique
Étrangère comme une mer qui sépare les montagnes…
Comme le vent qui voyage dans tous les océans…
Sous une vaste certitude …. Sous un vaste désespoir aussi


Un refrain qui malmène les matins d’été et une saison male fréquentée
Les nuits à perdre la raison, avec l’amour qu’on le ressent derrière le vide du néant
Usant le pinceau, faire des lignes sur les pages blanches…..
En tracent le chemin qui mène vers la dernière ligne de nos vies….
Et des mots qui forment des nuages ; pleins de fardeaux, pleins de sentiments….
                          
Ce n’est qu’une musique qui se joue….
Avec quelque notes de piano
Quelques refrains éternels,
S’en frasent en cris d’amour

 Cette musique,
Qui me parle, sans me connaître
            Etrangère
          Aventurière et nomades dans touts les âme

A la main une guitare, sur une scène remplis de cœurs…
Qui dansent avec l’euphorie de la voix ;
Me laisse rouler en vain sur des lignes de mes pages
 Sur son regard qui brille de loin,
Sur sa longueur profonde

Mais ce n’est qu’une musique
Nourrie de mots et du vent …
Qui ne me reconnaît plus…
Etrange, comme le monde change…


La musique, une inspiration dans le sang, et on le sent…
Avec les pigeons partant par les grands vents…
Traçant le chemin avec leurs ailes et leurs corps menacés…
Dessinant un cercle d’amour avec tant de finesse et de tendresse


Il y a ceux qui arrivent dans leurs coins, mangent et abandonnent leurs petits
D’autre s’accouplent, et se piègent par un chasseur affamé
Des ails qui tombent déjà, ou d’un orage foudroyés
D’une pluie qui efface à perdre les lignes tracés…..

Ce n’est qu’une musique qui se laisse aller…
Une note d’un piano, et une voix désespérée…
Quelle euphorie… ! 

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