Quelques notes de piano
Quelques refrains éternels…
S’en frasent en cris d’amour
Musique
Étrangère comme une mer qui sépare les montagnes…
Comme le vent qui voyage dans tous les océans…
Sous une vaste certitude …. Sous un vaste désespoir aussi
Un refrain qui malmène les matins d’été et une saison male
fréquentée
Les nuits à perdre la raison, avec l’amour qu’on le ressent
derrière le vide du néant
Usant le pinceau, faire des lignes sur les pages blanches…..
En tracent le chemin qui mène vers la dernière ligne de nos vies….
Et des mots qui forment des nuages ; pleins de
fardeaux, pleins de sentiments….
Ce n’est qu’une musique qui se joue….
Avec quelque notes de piano
Quelques refrains éternels,
S’en frasent en cris d’amour
Cette musique,
Qui me parle, sans me connaître
Etrangère
Aventurière
et nomades dans touts les âme
A la main une guitare, sur une scène remplis de cœurs…
Qui dansent avec l’euphorie de la voix ;
Me laisse rouler en vain sur des lignes de mes pages
Sur son regard qui
brille de loin,
Sur sa longueur profonde
Mais ce n’est qu’une musique
Nourrie de mots et du vent …
Qui ne me reconnaît plus…
Etrange, comme le monde change…
La musique, une inspiration dans le sang, et on le sent…
Avec les pigeons partant par les grands vents…
Traçant le chemin avec leurs ailes et leurs corps menacés…
Dessinant un cercle d’amour avec tant de finesse et de
tendresse
Il y a ceux qui arrivent dans leurs coins, mangent et
abandonnent leurs petits
D’autre s’accouplent, et se piègent par un chasseur affamé
Des ails qui tombent déjà, ou d’un orage foudroyés
D’une pluie qui efface à perdre les lignes tracés…..
Ce n’est qu’une musique qui se laisse aller…
Une note d’un piano, et une voix désespérée…
Quelle euphorie… !
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