dimanche 19 août 2012

Quand l'amour nous tient...



Marcher au cours du temps, flipper les heurs de leurs circulaires ; et mettre une pause devant la mer…..

Je ne parle plus, je ne souris plus, je ne pleure plus,

Je vis dans le silence de moi-même ; lentement je marche le long de mon rivage, trop lentement, peux être, suivre cette belle étoile qui me fascinait curieusement, et amoureusement de ce temps qui ce file de mes yeux, comme le voile qui nous échappe et nous laisse dénudés,
Se mettre sur la rive un instant, en contemplant le va et vient des vagues, qui absorbaient mes peines, les balançaient avec la mer entière, puis les noyés jusqu'à la lie ;
Mes cheveux chapardent avec la brise qui se soulèvent et se chamaillent. Le crachin venait d’un coup enveloppait le ciel étain. Soudainement le soleil s’éclipsa, jusqu'à froidir le sable d’or….

Chacun sa destinée, et chacun sa chanson qui le laisse aller avec l’éblouissant regard…
L’age d’un amour qui tourmente nos saisons d’été, nous éclabousse de tant d’imaginations
Il y a ceux qui savourent la guitare, et d’autre chantent jusqu'à briser les frontières
Et moi, je ne faisais que contempler la randonnée de mon univers

D’abord, un instant, je réfléchis à ces gens que j’ai connu au cours de mon trajet, au cours de mon chemin, qui ne menait nul vers la brève pensée, que dans l’immensité de l’amour…
Cet amour était notre seul verre que nous buvons hier et aujourd’hui

Ainsi, toujours des nouvelles connaissances, des nouveaux préceptes, dont ils nous avèrent des pensées emportés avec des imaginations qui nous feront vivre toute notre vie en une éternelle nuit …

Je me sens d’un coup très vaste, devant la mer qui mène vers l’inconnu, des vagues agitantes, bouleversante, qui domine librement mon âme…
Dont elle me pousse a jeter l’ancre dans mes feuillages, à la façon dont je voulais écrire tendrement ce soir, cette fille que je suis, la fille que je veux l’être, et quelque fois la fille que j’étais…
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L’amour m’envahit de temps à l’autre, et je ne trouve plus son remède que de plonger au creux de ma feuille, écrire et dire des choses qu’on oserait confier à personne
il m’incarne souvent a la poussière, dont je ne trouve plus mes os ni ma chair, ni mon regard, qu’a travers l’homme que je désirs…
Devant la mer, j’aimerais rebrousser le chemin pour venir vers Lui
L’écouter parler de ses plus belles histoires, au gré de sa beauté…
Dans la compagnie d’un tel homme il vaut mieux écouter que parler Il y a tant de façons de se taire en écoutant parler l'homme qu'on aime, A dit Jean Anouilh
J’aimerais être un peux plus proche de lui, afin de me mettre dans ses bras, à écouter la belle euphorie de sa voix,… et toute la vie sera une aquarelle de jardin, aux couleurs de nos parfums…

Quand je l’ai vu pour la première fois, j’ai goûté de sa saveur un amour potentiel, qui ne cessait de m’évoquer chaque nuit, un éblouissant coup de foudre, qui ne mène que vers le fou espoir, un inconnu espoir aussi, telle cette marrée qui n’est qu’une profonde vue au creux de l’univers…
C’est en regardant la mer aujourd’hui, que son regard me traverse l’esprit, voyageant sur le ciel, jusqu'à s’attacher a un phénix, lumineux, maturé, certes, m’emmenant sans doute vers ses pensées,
Je crois que ce rythme de l’aimer, me rend poétesse, et je souffle chaque mot de nos prouesses
C’et un amant qui danse comme je pense, tenant les discrets pétales de fleur, sensuel, rosé d’une couleur venant d’outremer…
Il est telle cette vague, qui revient en boucle et en désordre, tout en sueur, ses lèvres riantes et ivres, qui racontaient à mes lèvres une sensualité singulière, je rouvre mes yeux et j’observe mieux ce ciel gris, capricieux. Valdinguer les bateaux sur sa surface, et moi un instant devant la mer, l’observer de loin, enchanteresse, l’œil anxieux..
Et je vogue en silence, afin de l’entendre sur l’onde et sous les cieux, suspendus la haut, d’un après midi ensoleillé, d’un inconnu à la terre, et d’une voix qui m’est chère….et tout reste un temps suspendus dans ton envol, heure propice, un des plus beaux jours de ma vie
Mais je me demande en vain quelque moment encore, à coté de lui, de tout ce temps qui s’échappe et fuit, d’être un peux plus lent cette fois ci, un temps de jaloux, ou on verse le bonheur dans les calices et les boire à la même vitesse que les jours qui nous restes à vivre ou a revivre…
Que ce vent qui gémit aujourd’hui, puisse me faire une clémence, de s’inca
rner à un parfum d’amour, effluverait ton esprit,
Que ce tonnerre qu’on entend aujourd’hui, puisse te dire des choses que je n’ai jamais prononcées, et te faire entendre l’amour éternel

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