Je veux qu’il vienne ce temps ou on apprenne,
L’amour à coup sur ou à coup dure,
Pourvu qu’on s’aime…
Ne m’abandonne pas en plein enfer, je ne peux achever notre
liaison précaire
Je ne veux commencer une vie sans
compère
Pourvu qu’on s’aime
Après tant de patience, dont elle est devenu art de ma souffrance,
apprendre à soigner avec le temps la carence de nos espérances…
Tu es qu’un vieux, dans mon alchimie du cœur, Je me suis habituée
à l’hallucination de ta chaleur
Au fond de moi-même, des mystères, des troubles et des soifs,
Le désordre dans l’esprit, fait souvent de nous « des surcharges »
L’amour qui ne veut sécher, ni enlever ma peine, sans toi, l’oisiveté
était ma lourde fièvre,
Comme un ciel sans nuage… que l’espérance auquel garde le
soir
Ne me laisse pas enviait des bêtes de leurs amours et leurs
caresses…
Je veux qu’il vienne ce temps ou on apprenne,
L’amour à coup sur ou à coup dure,
Pourvu qu’on s’aime…
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