vendredi 23 novembre 2012

Pourvu qu’on s’aime


Je veux qu’il vienne ce temps ou on apprenne,
L’amour à coup sur ou à coup dure,
Pourvu qu’on s’aime…





Ne m’abandonne pas en plein enfer, je ne peux achever notre liaison précaire
Je ne veux commencer une vie sans compère  
Pourvu qu’on s’aime

Après tant de patience, dont elle est devenu art de ma souffrance, apprendre à soigner avec le temps la carence de nos espérances…


Tu es qu’un vieux, dans mon alchimie du cœur, Je me suis habituée à l’hallucination de ta chaleur
Au fond de moi-même, des mystères, des troubles et des soifs, Le désordre dans l’esprit, fait souvent de nous « des surcharges »

L’amour qui ne veut sécher, ni enlever ma peine, sans toi, l’oisiveté était ma lourde fièvre,
Comme un ciel sans nuage… que l’espérance auquel garde le soir
Ne me laisse pas enviait des bêtes de leurs amours et leurs caresses…


Je veux qu’il vienne ce temps ou on apprenne,
L’amour à coup sur ou à coup dure,
Pourvu qu’on s’aime…

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