mercredi 17 juillet 2013

le salut



Le Salut

fut traversé par des rayons de soleil qui luit à sa présence, son regard me traverse l’esprit comme le tonnerre et la pluie se rassemblait, donnant une euphorie à mon cœur, mon regard vers cette mer excitée, la houle des vague dansante des milliers de danse sans s’arrêter, me ramena jusqu’à l’évasion des mers… est-ce un ravage à cet égard ? Me demanda ma conscience
Je reste à ma question abandonnée, circonspecte et réfléchie… voilà que l’été me touche avec pleins d’idées, des souvenirs et des abattements sans raison, sans réponse, ni clémence…
 Qui sait qu’il me salut aussi, qui sait qu’il cherche mon regard dans cette pluie,
Qui sait qu’il m’aime comme je l’aime aujourd’hui….

Le temps révolte, la flamme continue à agir, l’amour tue l’amour, et nous resterons victime de ce crime de la vie, beaucoup emprisonnent l’amour au fond de leurs cœurs et feintent de ne plus l’appartenir, mais moi j’aimerais révolter ce sentiment au prés de ce regard abandonné…

Libre, libre d’imagination, sans geste ni mot exacte, je reste pointue dans ma triste espérance, pourtant sans conscience, tout ne serait que transparence, la mer est ainsi, libre sans frontière, riche et large, me semble-elle évidente de la traversée, même inaccessible sans canot,

Toute la misère du monde nous traverse à l’instant d’amour, à croire à ce salut,  qui vient qu’à l’aube du jour… c’est un instant fragile… que ne nous le voyons pas tous les jours, mais une fois vu, il nous laisse écouter nous même, d’un cœur qui bat de joie, même quand on est triste,  on se souvient que de nos plus belle voie… est ce un miracle, un prodige ?
 On exploit l’ordinaire, on oublie la peine… on croit à l’amour comme la première fois…
C’est toujours la première fois quand on est amoureux, on s’approche et on s’éloigne, on tremble, on meurt, on croit le matin, on désaccord le soir, on s’oublie, on s’efface, ce n’est qu’un pas de vent, la nature exigeante, c’est la vie… c’est la vie


jeudi 20 juin 2013

L'oiseau enchanté



Il y a une semaine, je me suis privée de l’obligation de la technologie. Rien de beau que de tenir soi même dans la profondeur des cieux,  tenir les pieds à terre, voir et tenir l’ombre de nos jours ;
Je me suis trouvée dans un temps printanier, ou les pigeons avaient laissé tombé leurs plumes sous nos toits, j’avais soudain l’impression que nous sommes tels ces créatures là ;
Qui volent au fil du temps, au fil de la vie entière, j’ai pris un moment de nostalgie qui me ramena vers ma tendre enfance … je garde amplement des souvenirs de tant de finesses que de tristesses. Je me voyais volé dans l’abondance de l’univers, ou je me trouvais loin de moi-même,  loin de virtualité et des sorcières,  
C’est de même ; quand on voyage dans le temps, on trace notre route vers les plus beaux jours du passé, vers les plus beaux avenirs qui sont en l’aire, qui paraissent lointains, mais qu’ils s’approchent en toute simplicité… des chemins qui mènent vers cette belle et élégante étoile, étincelante de loin, solitaire avec altitude
Je m’aurais dis cet instant là, « là ou j’irai dormir, à l’ombre du soleil, sur la terre, ou repose ma tête, mes yeux ainsi, je saurai que seul Dieu m’offrira son lit, et j’aurais le plaisir à le remercier » c’est ainsi que l’oiseau semble vivre.
On a toute une histoire qui semble se déguiser à cet oiseau granivore, amoureux de sa prétendante, amoureuse aussi de son chant, il se dit peux être je ferai mieux de la séduire encore et encore avec ma plus belle mélodie ; que j’entend gazouillé de ma fenêtre, sifflé des milliers de morceaux,  qui servaient à honorer mon toit en fleurs, ou des grands oiseaux migrateurs viennent pour grignoter les miettes et partent à jamais dans leurs envols

Vous savez, je suis heureuse aujourd’hui, je me retrouve dans un monde différent de celui que je connais,  des arbres se tiennent debout devant moi, des fleures rouges dévore l’eau que je jette sur leur sable déserté, des moineaux qui viennent volés un peu des gouttes de mon sots en plastique, il y a eu ce tableau magique qui emplit soudain mes yeux, ma maison devenue pour moi, mon plus beau endroit, j’aurais quoi dire encore, mais je préfère me limiter là.


lundi 10 juin 2013

le premier jour




Je suis dessus une montagne dont tous les vents me traversent
Il n’y a pas d’harmonie dans mon coeur ;
Que dans l’horizon ; à travers




Plus rien n’arrête mon regard ; qui va loin, ou presque à jamais dans ses rêves
De ce soleil de beau jour, frais, quand il se met à briller
A mon tour, mes yeux s’enflent à l’amour des pays ;
Que quand on voit que le ciel est seul et nous réunit
On sache que rien n’empêche d’aimer
Comme ce beau jour de notre odyssée ;
Comme l’amour d’une mère fatiguée
C’est clair, on a beaucoup de fruit à partager
Des pommes, des cerises, des raisins
Donner jusqu’a fleurir nos mains de générosité
Voilà donc ; Je salue ce beau jour de la matinée
Si tard le soleil se met à coucher
En poursuivant mon chemin, en souvenir d’un brin désuet
Je ne peux l’arrêter ;
A dix neuf ans, on a accueilli pas mal de jours
Mais on continue à vivre et à survivre
des tours sans retours,
on aime, et on s'aimera,
à ne jamais oublier notre premier amour



samedi 6 avril 2013

Elle








Le matin, le jour éclos au firmament
Le bruit de l’exil s’annonce à nos guerriers
La foule des gens nous a bouleversés en l’aire
Hélas !

Doucement la pluie s’annonce à nos rivages
Comme une perle qui domine notre univers
Et à ce moment tous se retournèrent en elle

Est-ce tes larmes que je décris ?
Est-ce toi ma patrie ?

Ses larmes qui semblent si longtemps nous bouleversèrent
Ses yeux portaient la terre entière
Si profond qu’une mer qui n’a point de chemin que vers elle…

Elle que la brise ne cesse de l’envoûter
Dansante en parallèle des milliers d’étoile de nuit
Hélas !

Comme elle est belle 
Vertu du blanc, du vert ou de rouge
Ce ne sont que des couleurs …
Qui n’ont qu’un signe de valeur «  gloire pour Elle »
Simplement parce qu’on est là pour cette terre
Simplement parce qu’on rebondissent nos sangs pour la moindre poussière   
Elle Ma Patrie que j’aime

L’Algérie 

jeudi 4 avril 2013

.....Tel un paysage....

je t'aimerais pour toujours... et tu le sais très bien 

Oh toi qui me regardes…. Ne te laisse pas aller
               Vers ton essor imaginé


L’amour m’a tant joué de rôle… Des infinis combats
 Et je n’aurais quoi espérer… Jouer ou chanter pour pouvoir l’écraser
Mais rien n’est suffisant …
Non rien …

Laisse moi t’aimer… si léger amour comme la brise de la matinée,
Plus doux que la tendre fleure de tes beaux jardins d'été….
Quant à moi, je songe souvent d’un ciel plein d’oiseaux argentés
Enveloppant l’arbre par leurs ombres  
Qui prennent chacun une place pour m’écouter
................................
Leurs raconter quelques lignes de ton portrait …peut-être  
Est-ce possible d'en rajouter ?


Hélas… j’ai tant fais de toi un paysage
D’un océan remplis de voile
D’une montagne  
Et j’aurais quoi dire aussi
l'amour m'a tant révélé de secret 
Des roses, des épines et quelque pluie
est ce suffisant ?

oh toi qui me regarde ... ne te laisse pas aller 
vers ton essor imaginé


vendredi 11 janvier 2013

Une lettre






J’aimerais te dire derrière les mots que je vais écrire, quelques pures pensées ainsi que mes remerciements de chaque jour où nuit dans l’abondance de ton cœur. Écouter ta voix émouvante, ou me partager tes multiples connaissances de cette vie et de ses aires, si j’ose dire peut être encore plus : me laisse attacher à tes pas… épandait mes sentiments et ne mesure point l’amour ‘de ton dernier baiser que je ne les ai nul oublié !
Certes Mes dix huit années bientôt cesseront et me ramèneront jusqu’à parlerait un jour à ma vieillesse, je ne sais pas si tu existerait dans ma vie durant mon grand destin qui nous emporte sans défense à tous les vents de l’univers, mais ça reste une volonté divine venant de Dieu, et chacun en a sa part même les feuilles d’un arbre du rivage…
Et si je vais creuser ma mémoire pendant ce temps  pour distinguer les choses passées, j’en trouverait un souvenir profondément cacher, au creux de mon front jusqu’à ma dernière pensée, 
Maintenant jeune, ou mon âme subit l’onde de lumière venant de cet homme qui lit en ce moment ma lettre, tout ce que je vois au fond de ses yeux «  une brillance », qui essai de se mentir en disant cette fille de dix huit années est folle éprise de  l’écriture, j’en rajouterais «  d’un homme aussi »  mais elle se ment à tout moment, vu l’intervalle nous séparerait un jour comme un fruit avorté sans espoir qu’il renaisse aux deuils de la jeunesse
Pour finir :
Quelconque mon age,  l’avenir nous sourit et le livre de nos cœurs à tout page sont écrit »