lundi 7 mai 2012

le silence





Quand on parle d’un silence… le silence qui nous laisse oublier le temps, qui nous laisse cacher le fond… le silence qui fait croire et douter de tout…
Le silence semble tel un mensonge de la vie… que la réalité nous semble frustré…
Quand on sait que le silence brille à plein feu, et qui débordera la flamme au fond de nous,
Dont l’espoir pourra se faner de la chaleur qui nous tourmente d’un coup…
L’espoir qui ressemble à cette fleur au milieu de la notre, au milieu de notre existence, qui n’a point de couleur que l’indifférence…. Unique pour soi, unique pour nos toits… qui se diffèrent l’un à l’autre, dont on est seul créateurs de sa valeur…comme ce soleil exigent sa beauté en dehors des nuages, baptisant son honneur en gratitude des cieux, et de la terre aisée… que seule la lumière fera d’elle une sérénité… 
On est tous dans l’inconnu, qui déborde l’eau et de son absence, qui déborde l’amour et de sa carence… qui nous laisse flotter comme un poisson entre la mer et la terre…
Croire à ce genre de chose, nous fait croire à la vie et la mort, ouverte pour nos esprits, qui produits la déchirure ténèbre, venant de notre fond qui s’allume derrière nos rêves… mais on voit guère son absence, qu’au moment la rigueur de nos fleurs…
Le soleil brille en silence de ce temps dans son horloge, de tour et de son retour, faire des notions à nos esprits, réveillent les consciences endormie dans le sombre de la nuit, la rafraîchie avec la vertu de la sénescence de ce soleil, fort et poudroie… son aurore est notre seul cris pour nos âmes, une voix qui nous fera levée en silence…

Le silence nous laisse écrire le monde, le peintre en brouillard… le peintre en lumière… masqué les couleurs, et laisser fondre le noire comme un signe d’effroi, de l’anxiété, la peur qui sortent de notre forts regards, dont le corps se retrouve évoquer son ombre, au milieu de la lumière… et c’est ainsi que le noire devient mystérieux pour l’humanité, 

On est censé de ne jamais comprendre la réalité, que par moment de la sensation de la perte, que nous réagissons pour ce silence qui se trouve en nous, qui nous laisse faire des mots, avec ce hasard curieux qui nous fait provoquer le destin… et nous nous trouvons au milieu, chercher à cheminer le temps avec nous même… mais ça brille le jour au jour, ça brille des milliers de feu… que nous écrasons avec nos ombres face à face avec le temps qui passe …

La nuit je réagis mieux, et dé l’aube j’oubli ma peine, la victoire de mon esprit qui s’endort avec la conscience… qui domine mon cerveau de la peur de l’échouement… et nous fait croire à ce destin brillant avec les étoiles…. J’entend à ce moment mon âme résonne, de ce silence, étouffé des sensations, qui nous donne envie de contacter notre seul et unique lumière qui semble la haut, nous regarder… parler en silence avec notre digne prière… croire à son attention envers nous, vers notre livre qui se noie dans la transparence de son éclat,

Le corps aspire et inspire notre ombres, bien entretenu, , d’un organisme spirituel,  d’une parfaite réalisation, que par autrui la mort, je n’ose trop parler de ça… de peur de me tremper, de peur de ne jamais m’en sortir… mais je sais une chose que notre image est notre salut, et notre foie fait de soi une diffusion de nos qualifications qui sort à travers nos yeux, nos bouches, nos nez, nos sensations, tels les rayons du soleil qui brillent pour saluer la vie,
Pour donner une couleur et un goût à toute chose existée… 

Parler de soi, nous fait piéger… tant le silence règne, et nous fait soliloquer les transparences de la vérité… que nous doutons tous les jours, que nous comprenons que sa définition comme une puissance de la parole...


le vent




Le vent donne toujours un sens à notre vie… ainsi soufflant avec nostalgie, ramenant les feuilles jusqu'au nos pieds… et la mer enragée…débordera en méprit tous ses vagues… criant l’orage et la pluie…
Il pleut comme je pleurais y’a une dizaine d’année… de ce vent qui me faisait tant peur la nuit…
Quand je me retrouvais seule au lit, prés de la fenêtre, enlacée avec mon jouet…
Je n’aimais guère ce bruit… il me faisait craindre ma vie… sans connaître la raison de ma peur… que seule ma souffrance négligeait ma conscience, mon intelligence…
En regardant dehors,  je voyais le ciel couleur éteint, cette couleur que aujourd’hui me parait fascinante…. Celle que nous l’utilisons dans les toiles inspirantes…
La sensation de ranimer ma passion ardente… de cet art que je le trouve au fond de moi… l’art qui vient de cette peur de mon enfance, de ma souffrance, et mes tourments,
 Cette enfance qui se trouve toujours au fond de moi…qui n’a jamais quitté mon esprit, et me laisse toujours admirer ce vent sans regrets, sans peur, mais autant qu’une bénédiction de ses succulences,
La peur que j’avais il y a une dizaine d’année,  m’a donné tas d’idées, tas d’inspirations, ainsi que l’espoir  
Tout cela me semble une frayeur qui a influencé ma vie, qui a agité ma peine, et m’a inspiré la feuille, qui m’a donné avec le temps des fleurs,  
Ces fleurs là sont fait pour être dans mes mains, les arroser avec l’eau de ma sueur… la donner une valeur celle d’y croire à ce destin… croire à lui semble notre foie… que sans elle, ne nous parcourons aucun chemin.. 

dimanche 6 mai 2012

j'aimerais que tu reviennes ....



l'amour d'un temps perdu avec ma belle étoile


Un sourire éblouissant, un regard admirable, un geste romantique ;
Son beau visage comme un beau paysage….Comme un tableau que je tiens au fond de mes yeux, Son beau sourire, qu’il se peint souvent à mes yeux… dont mon cœur devenait palpitant…
Son geste pareil qu’un vent doux et frais, me laissait aller avec un parfum fleurissant…Sa romance… c’était un temps de la cadence ; une réalité qui semblait féerique, m’éblouissait par sa voix angélique…
Une voix qui m’a tant retentissait l’esprit, dont je me retrouvais ensorceler de cette beauté magique….
Toi mon cher bien aimé… dont ton regard me laisse faire des poèmes et des récits, des lettres et des mots… sans une réponse, sans clémence…
 Mais je vie de jour au jour, pour ne jamais quitter ma belle étoile… qui se trouve la haut… loin de ma peine, loin de mon ombre… celle que je la poursuis avec mon silence, d’un impossible espoir….celle de savoir que t’es loin de moi.. Loin de mon regard. Loin de mon chemin  Ce n’est qu’un souvenir qui danse sur ma mélodie du passé….qui cherche à te capturer de cette image…J’aimerais que tu reviennes… pour te prouver l’amour que j’ai pour toi…


Je t’aime
l'envie de ta présence

mardi 1 mai 2012

belle femme sauvage






 La nature, belle femme sauvage, qui nous laisse abasourdie de sa tendresse,
 Elle vient souvent me raconter ses caprices, et moi seule à l’écoute de ses chants, dans mon silence obscure, l’attendre à son dernier tour de jour, à son fidèle oeil de flamme, qui sort de ses profondes mers, laissant agir ses lumières au creux de son ciel…
Des rayons à plein feu, caressant nos esprits, dessinant les traits de feu, comme une toile avec ses pinceaux, variés de couleurs, varié de lumières… de rouge, d’orage, de bleu…
Et des milliers de gens devant la mer, en contemplant sa splendeur, qui faisait tant jouir l’air jusqu’à embellir nos visages, et le faire traverser les ages…
La nature, belle femme sauvage, à une voix très angélique, ses larmes dansant jusqu'à nos pieds, fondre nos traces au fond d’elle, et nous laisser sans choix… en nous glissant nos esprits et l’intégrer à sa transparence.
D’autre rester à l’ombre de l’existence, à la brillance d’étoile, récolter les écrins dorés de leurs lumières, les faire attacher à nos cœurs, pour inspirer l’espoir, l’espoir de parcourir une vie flamboyante…
Tout cela nous fait croire à l’image du temps qui s’étale à nos consciences, nous faire perdre dans sa diligence, nous écraser pendant nos absences, et nous reviens qu’au moment de notre pertinence… quand on se sent perdus avec le vent…ce vent qui emmène les corps en sable, les ruiner dans tous les sens….
 Oh belle femme sauvage ! Fameuse femme qui semble vivante aussi… telle nous les êtres, vivons aussi tes défauts, que grâce à eux que nous existons, que les qualités réagissent et nous laissent bien entretenues …
Tes chagrins ne sont pour moi qu’une pureté… qui bénéfice une résurrection a la terre, à sa fraîcheur, réagissant jusqu'à fleurir et  enfouir ses trésors… en nous laissant imposer nos recherches scientifiques…des mystères et des théories pour des nouveaux préceptes…
En ce jour... son air raisonne en moi, par ces histoires mêlant nos différences… et moi devant cette femme d’une beauté sauvage, me laisser entretenir mes désirs, mes pensés, mes mémoires qui ce trouvaient bien au fond de moi, tout en les balançant avec ces vagues, les mélangeaient avec la mer entière, éreintée puis souriante de les avoir noyés…. Les faires disparaître avec cette magie que cette femme sauvage m’a attribuée….