Quand
on parle d’un silence… le silence qui nous laisse oublier le temps, qui nous
laisse cacher le fond… le silence qui fait croire et douter de tout…
Le
silence semble tel un mensonge de la vie… que la réalité nous semble frustré…
Quand
on sait que le silence brille à plein feu, et qui débordera la flamme au fond
de nous,
Dont
l’espoir pourra se faner de la chaleur qui nous tourmente d’un coup…
L’espoir
qui ressemble à cette fleur au milieu de la notre, au milieu de notre
existence, qui n’a point de couleur que l’indifférence…. Unique pour soi,
unique pour nos toits… qui se diffèrent l’un à l’autre, dont on est seul
créateurs de sa valeur…comme ce soleil exigent sa beauté en dehors des nuages,
baptisant son honneur en gratitude des cieux, et de la terre aisée… que seule la
lumière fera d’elle une sérénité…
On
est tous dans l’inconnu, qui déborde l’eau et de son absence, qui déborde l’amour
et de sa carence… qui nous laisse flotter comme un poisson entre la mer et la
terre…
Croire
à ce genre de chose, nous fait croire à la vie et la mort, ouverte pour nos
esprits, qui produits la déchirure ténèbre, venant de notre fond qui s’allume
derrière nos rêves… mais on voit guère son absence, qu’au moment la rigueur de
nos fleurs…
Le
soleil brille en silence de ce temps dans son horloge, de tour et de son
retour, faire des notions à nos esprits, réveillent les consciences endormie
dans le sombre de la nuit, la rafraîchie avec la vertu de la sénescence de ce
soleil, fort et poudroie… son aurore est notre seul cris pour nos âmes, une
voix qui nous fera levée en silence…
Le
silence nous laisse écrire le monde, le peintre en brouillard… le peintre en
lumière… masqué les couleurs, et laisser fondre le noire comme un signe d’effroi,
de l’anxiété, la peur qui sortent de notre forts regards, dont le corps se
retrouve évoquer son ombre, au milieu de la lumière… et c’est ainsi que le
noire devient mystérieux pour l’humanité,
On
est censé de ne jamais comprendre la réalité, que par moment de la sensation de
la perte, que nous réagissons pour ce silence qui se trouve en nous, qui nous
laisse faire des mots, avec ce hasard curieux qui nous fait provoquer le destin…
et nous nous trouvons au milieu, chercher à cheminer le temps avec nous même…
mais ça brille le jour au jour, ça brille des milliers de feu… que nous
écrasons avec nos ombres face à face avec le temps qui passe …
La
nuit je réagis mieux, et dé l’aube j’oubli ma peine, la victoire de mon esprit
qui s’endort avec la conscience… qui domine mon cerveau de la peur de l’échouement…
et nous fait croire à ce destin brillant avec les étoiles…. J’entend à ce
moment mon âme résonne, de ce silence, étouffé des sensations, qui nous donne
envie de contacter notre seul et unique lumière qui semble la haut, nous
regarder… parler en silence avec notre digne prière… croire à son attention envers
nous, vers notre livre qui se noie dans la transparence de son éclat,
Le
corps aspire et inspire notre ombres, bien entretenu, , d’un organisme
spirituel, d’une parfaite réalisation, que
par autrui la mort, je n’ose trop parler de ça… de peur de me tremper, de peur
de ne jamais m’en sortir… mais je sais une chose que notre image est notre
salut, et notre foie fait de soi une diffusion de nos qualifications qui sort à
travers nos yeux, nos bouches, nos nez, nos sensations, tels les rayons du
soleil qui brillent pour saluer la vie,
Pour
donner une couleur et un goût à toute chose existée…
Parler
de soi, nous fait piéger… tant le silence règne, et nous fait soliloquer les
transparences de la vérité… que nous doutons tous les jours, que nous comprenons
que sa définition comme une puissance de la parole...
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