vendredi 30 mars 2012

toi mon roi ..

Mes lèvres ne parlent qu’en silence, et mes yeux en jouissance de cet amour en absence…… Qui arrose mes joues de pluie et de flot… serait-elle une délicate pensée de mon amour à moi ? Que j’ai tant de fois dis je t’aime… et qui m’a tant de fois cassé la voix, de n’avoir pas été admis à son cœur de cet amour qui est en moi…
Je suis qu’une fille amoureuse de toi,
De ton cœur,
De ton corps,
De tes yeux,
Et de ta voix
Et je me déchire sans toi, comme je meurs seule sans ange,
A travers l’ombre de mes pas, je te vois de loin un homme libre de choix
Qui s’en va, et revient d’un cœur emballé de joie, de tous ses amants là…
Qui n’ont qu’un cœur donné a deux fois…
Et moi perdue seule dans les cœurs des gens sans même y reconnaître mon endroit
Qui ne trouve nul ailleurs que dans ton cœur à toi…
Même si je songe des fois…de ma folie qui te rend roi...
Je veux que tu retiennes mon amour qui est telle une histoire sans personnage
Car ta perte me laisse sans peau, sans voix, sans toi… Car tu fais parti de moi
Même si je songe des fois… de ma folie qui te rend roi…

lundi 26 mars 2012

Une école

L’école reste une partie de ma vie, là où j’ai appris à grandir, à me tenir face aux autres, ma raison d’exister le bas, était comme tout le monde, chercher à apprendre le résultat d’une problématique, mais mon problème à moi était de trouver la liberté qui se trouvait derrière la mure…, je craignais mes maîtres et je craignais aussi de me perdre au fond de cette école, qui me paraissait demeurait à jamais, et je pleurais quand mes parents me laisser seule là-bas, de peur de ne les jamais les revoir… mais avec le temps, on s’est habitué à résoudre les problèmes seuls sans gêne... Et les années se sont écoulées, à chaque seconde une nouvelle leçon à apprendre, mais tout ce que j’ai appris, c’était mon but de vivre, chercher à résoudre d'autres problèmes qui venaient trouer mes routes… sa m’est arrivée quand je montais au tableau pour écrire mon résultat, je perdais ma confiance, … seule une question me parvenait au moment que la maîtresse me criait dessus, si le monde est ainsi mais avec le temps j’ai compris que l’école nous apprend plus à tenir face à ce monde, comme je me tenais moi face à ce tableau plein de chiffre à ordonner, et des mots écartés... On sort rarement fiers de cet établissement... Qui étaient encore plus dure que la vie, alors qu’elle l’appartenait… C’est un peu bizarre tout ça… Mais tout de même, moi je suis fière d’avoir été dans une école, car malgré ma souffrance et des ennuyés qui me venaient au moment où j’étudiais les matières obligatoires, y a toujours un goût dans tout ça, un goût dont je forme mon histoire, que ma vie démarre à partir de mon école, là où je me souviens le plus de mes larmes, et de ma joie au moment de la récréation. Mais j’inspire ma confiance maintenant grâce à ce tableau magique, qui m’a tant bousillé, des maux de tête et l’angoisse de mes contrôles ratés, des regrets …mais tout s’apprend avec le temps, on apprend à réagir face à d'épreuves, et ça nous donnait des points pour passer à des'étapes qui étaient encore plus dure et plus sincère…mais en dehors de tout ça, y avait aussi lacour qui nous réunissait… l’ambiance qu’on vivait ensemble me rendait heureuse … c’était comme on disait... C'est avec nos erreurs Qu'onApprends ... Et avec le temps Qu'on Comprend....Sarra Welle

dimanche 25 mars 2012

Une femme sur toile




Une femme sur toile... Peint en couleurs sombres et claires...démesuré, projeté aux cœurs des océans abandonnés, par ses yeux une longue route a mené, des secrets ressorts ses larmes dansées dans son œil malmené... elle est telle une étincelle princesse rayonnante et ténébreuse à la fois... touts dans sa peau créant le silence dans son coeur ensablé ... Tout était abstrait à nous-mêmes, on savait de quelle peine souffrait cette jeune fille... Lumière du jour tapissait sa lueur sensuelle...seule moi je semblais transmettre ma peine sur elle-même... Et faire d'elle mon éternelle concrétion... en tenant son aspect au cœur des malsains... Un pinceau venait caresser ses yeux noirs... Reflétant mon regard envers elle ... et son nez bien tracé touché l'ombre de sa peau... l'ombre de moi-même... Elle se noyait au fond de ce tableau... et elle me faisait perdre dans le maintenu de son attrait...rien n'était aussi beau que de toucher sa peau... avec un pinceau à sécher ses larmes de se l'huile amère ... Je croyais certes la consoler... Mais elle n'était rien qu'une étoile de l'art concret...je me disais que si seulement...elle pouvait me faire signe de son apparence et de croire à moi autant que sa créatrice... Mais nul ne semblait la maintenir autant qu'une reine de son coin serein... oh daman de toile... comme tu es ravissante à mes yeux... Et cher au prix des autres... je ne savais si je vendrais ta peine... au creux de cette toile perdue... à ceux qui veulent faire de toi une œuvre de ma patrie... ou te laisser sécher au ciel levant... Et faire de toi ma fierté qui aborde ma terre inconnue
Sarra welle

Marcher à pied


j'ai toujours préféré marcher à pied, suivre mes pas sans craindre le temps qui ne parvient pas... Je marcherais lentement pour y parcourir un chemin rempli de hasard...croisé mes chances d'un lendemain lointain et à croire à un destin indéfini... à chercher les regards les plus perdus dans l'humanité afin de creuser mes pas dans la terre et découvrir les plus sincères adversités Je me voyais soliloquer moi-même, attacher à une telle énigme sans une réponse valable... je me croyais certes perdu ... Je me croyais naguère allée à l'autre bout du monde... Mon enthousiasme en marchant n'était guère comme d'autres passants... Ses derniers caressaient la même ligne que mes pas ... Je me demande à chaque fois que je vois quelqu'un combien d'inconnus ont marqué nos vies, à croire à ceux qui existeront à l'aube de nos futures, que je ne les vois pas encore dans mes rêves... ni croire à leurs existences... Je sens que la vie est ainsi, très magique, que les gens ne se rendent jamais compte de sa magie, nous sommes tous liés par une sorte de lumière qui n'est point de notre humanité... Je l'ai toujours définie comme un miracle, venu de notre créateur... pour nous faire un cercle d'amour et d'amitié... en toute manière je sais qu'on peut traverser la vie de chacun d'un inconnu pour réaliser son plus beau rêve...je crois qu'on a une place chez des milliers des gens sans même s'en douter
Sarra Welle

Une étoile perdue au fil du temps

Après le crépuscule du soleil, qui quittaient mes yeux d'un clin de vague, lié le jour et la nuit des couleurs qui réchauffait mon cœur d'amour et de paix, lorsque je m'éloignais dans leurs fonds je me voyais loin des opulences du monde, ma philosophie s'arrêta et je devenais borné d'impressions, d'un coup la nuit envahissait le ciel et nous laissa à la recherche de ses couleurs ornées, je me perdais au croisement des étoiles, qui étaient une beauté des antes de notre humanité, leurs amours apparaissaient que dans les nuits sinistres, ça me surprenait à l'état de croire à ma chance, qui ensevelissait entre leurs éclats; et je cherchais un vœu pour le confier à mon destin, J'avais donc côtoyé une étoile perdue au fil du temps, qui caressait une partie du ciel, avec sa lumière flamboyante, danser sous mes yeux resplendis, tenant une longue histoire des nuits et des contes mémorables, elle vivait solitaire, elle me disait que je suis qu'une lumière qui est venue a votre destinée, et qu'au fond de ce ciel métamorphosé, une longue route a mené, dont les vraies étoiles dures et filantes existent au même temps que le vôtre, et que dans quelques décennies, leurs lumières arriveraient à votre oeil brimé, Je savais que j'imaginais son existence; et je songeais ses paroles qui me venaient à l'esprit comme une mélodie d'un temps qui n'est pas le nôtre, C'était donc un passé qui venait de cette étoile perdue au fil du temps, qui déclina sa lumière jusqu'à sa disparition, j'avais donc compris que le temps est ainsi, il nous séduira une fois on serait dans le noir, et on cherchera à l'atteindre, mais à la fin on saura que sa beauté n'est pas celle d'aujourd'hui, mais d'un temps qui a déjà eu faim, et chaque étoile qu'on voit guère ce soir, sera la source de demain... Alors profitons de la beauté du temps abstrait pour voir de sa lumière sans remords
sarra welle

Mon oiseau




mon oiseau à moi, tant de fois je voulais te voir auprès de moi, afin de combattre mes plus strictes averses, je t'aurais voulu te voir chanter tes peines au-delà de ton bonheur, derrière ses barreaux noirs, tu m'as tant de fois consolé d'un regard m'amusait certes, mais ce que je m'éloignerais un peu dans mon reflet, je craignais de me perdre en toi, ça m'est venue à l'esprit tes gestes qui ne semblaient jamais se démoder. seule je me voyais exister en votre humanité comme une admiratrice ... pour moi seul toi m'aimait sans se demander pourquoi, tu n'avais point de rancune... j'ai tant voulu être comme toi, une femme du coeur, j'ai appris à croire à mon existence sans chercher à plaire...j'ai appris ainsi à aimer sans fouiller les qualités même si tu s un oiseau plein de patiences, mais cela semble absurde... tu vois nous les humains, nous sommes des hypocrites sans se rendre compte .. on cherche à ce que laire afin de réussir à tenir la main de quelqu'un qui finit par tomber amoureux d'une de nos qualités mais jamais de nous-mêmesmoi donc je te vois comme une des plus belles qualités qui existent sur cette terre...qui pourra me transmettre ta gloire sa memettait hors conscience ... je me disais que si seulement ton âme pouvait communiquer mon existence en toi, afin de dessiner l'amour en moi maintenant que tues loin d'ici, j'ai pensé à écrire un hommage à ta générosité ( une perle rare) ça m'a gravement poussé à écrire des tas de choses sur toi ... rien en tenant la plume de mon stylo je ne me suis rendu compte de ta valeur en moi ... moi seul âme au-delà de ta tombe qui n'existe plus sur terre, tu n'es qu'une partie de poussière qui s'envolait d'un coup d'air? À faire salir nos parterres... mais ton existence chez oiseau restera à jamais fidèles, tues ma seule et unique étoile dont je n'ose oublier...
sarra welle


sarra welle