La mer semble calme et claire, reflète la paix dont on
se noie dans sa transparence, et on tombe dans l’espérance de faire un long
voyage, dont l’espoir nous fera traverser les profondeurs et les vagues
dangereuses, c’est un espoir assassin, qui bat des milliers de gens traînant
dans la mer affamée… et le regard s’éloigne d’un pays à un autre, tous disparus
au fond de l’inconnu et tombent sous forme de larmes brûlantes, « c’est dû
à notre cœur enflammé »
Et tous comblaient les vœux, afin de retrouver leurs chers
compères, et clamer la fièvre ardente
D’autre était solitaire, braves et maîtres de leurs choix, amoureux de se soleil couchant et qui
diminuera la couleur de leurs patrie, …qui s’en va …
Ils allaient tous quitter leurs pays, mais chacun tenait une
fleure dans leurs mains, qui n’était rien qu’une ambition d’un avenir proche,
Quant a moi, je n’étais rien qu’une admiratrice de ce
paquebot portant de différentes intuitions, dont le hasard rendait le bateau
cosmopolite, et qui faisait de lui l’ombre des couleurs en assemblage, il
convient en allumant la bougie qu’ait une bonne naïveté, en me faisant réviser
mes souvenirs d’un temps d’hier, commémorer les plus loin chant d’hiver, mais on ne pouvait toucher cette flamme, car on
savait qu’elle blessait les chaires, sans nous reconnaître…
Mais contempler une chandelle,
me faisait perdre dans sa flamme dynamique, vivante et mère de la nostalgie, comme
se bateau qui se perdait en plein océan …
C’est un grand pas à mener, vers un temps disparu tel le pays
perdu….
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