Une leçon importante, que je l’ai apprise pendant mon voyage
à cet age de dix huit ans….
Pour toute vie, j’ai que dix huit ans, l’age où on espère
beaucoup, faire preuve de l’existence, et aimer sans craindre son absence....
je sais que pendant ses dix huit années, j’ai dû apprendre beaucoup de chose, se
sont touts des habitudes qui ont devenus avec le temps des expériences, caressant
le temps perdus, pour venir chercher les
réponses de toute fait inattendus…
Je ne perds jamais mon enthousiasme… car je sais que dieu
est toujours là pour nous guider les pas,
j’ai aimé plusieurs personnes, autant plus que soi, et c’est
toujours ma raison de mon réveil le matin… sachant qu’il y a toujours quelqu’un
qui m’attendra un jour … selon moi, rien n’est carrément perdu sur terre…
Et la vie est ainsi, destinée à nous, comme dans un livre…
et chacun est seul à prouver sa vois, comme on le fait souvent avec nos pieds
et nos mains…pour construire nos principes et nos raisons de vivre…
J’ai du croire à tout, pour croire à moi, une fille faite de
chaire et d’os, d’une cervelle et d’un cœur solitaire, qui aime voyager,
décoller d’un bout des rêves, aller jusqu'à ma vieillesse, voire un peu de ma
tendresse, et revenir avec mon premier chant, pour écrire ma dernière leçon…
J’aime voire la brillance d’étoile, pour connaître la beauté
de l’obscurité, qui nous fait tant réjouir, tel un aveugle, poursuivant sa
route dans le noire, mais réagissant d’une manière spécifique, qui traque le
cœur au fond de son esprit, croyant à tous ses sentiments, jouissant son rôle
au fond de son corps, comme une étoile, qui donne une lumière et l’aide a
suivre son cœur et ses pas en derniers…
Puis l’aube se montrera, rayonner la terre d’un point de
lumière… et poussent les oiseaux à ouvrir leurs ails, et à couvrir plusieurs
km, faire un long voyage, pendant que nous dormons, ils traverseront les
périples… sans expérience, sans guide... seuls avec leurs ails,
s’inciteront vers l’inconnu, ce sont des
migrateurs, que j’aime bien les regarder, leurs faire ma part de charité, je me
demandais des fois, de ses oiseaux là, qui n’ont point d’intelligence ni de
calcules, comment peuvent-ils faire faire leurs chemins ? … c’est à ce moment là que j’ai compris que
dieu est seul à nous guider nos pas…
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