samedi 28 avril 2012

un étranger





Je sais qu’il y a des personnes que j’aimerais tant leurs faire preuves de mon amour envers eux… pour moi… se sont des couleurs… et chacun d’eux a sa couleur à lui… qui décrit sa présence, sa singularité, sa qualité…   

On a tous une chance dans cette vie… la chance de connaître des personnes… qui nous laisse différents des autres, qui nous laisse scintillants de la réalité…

Quoi de plus de parler d’un étranger… que j’ai connu à travers un écran mystérieux… par une boite de communication, par une virtuelle vie…par un hasard curieux… qui a poussé le destin  à relier deux cœurs, deux âmes, sans rapprocher les corps… et c’est ainsi qu’on a commencé à parler,  et à dire les mots tendres, des sincères adversités, des réalisations, confier tout nos confidences… sans méfiance sans soupçonne

Cet homme là est un étranger… un héro aussi, comme me l’a dit un certain homme  «  ton ami est un héro »  cette phrase je l’ai toujours retenue, autant qu’une phrase qui présente quelqu’un de potentiel, de force, de générosité, de la courtoisie… tout cela je les ai appris par tout ce qu’il m’a écrit…. Par ses histoires, ses jolies histoires qui ont commencées par un amour fort… de ses charités, et de son soutien envers les gens, dans n’importe quel événement… c’est un homme qui  tient un  coeur assez expérimenté, pleins de liaisons, pleins de sentiments, … je ne comprenais plus d’où venait cet intuition… qui le rendait un homme fort de courage et de volonté…

Maintenant je le vois plus un poète que autre chose… il reste souvent dans les hauteurs de Kabylie…. Entrain de contempler les étoiles… et croire à son destin, en parallèle qu’a son cœur, qui le laisse indifférent de la vie… il m’appelait souvent quand il se trouvait au plafond de sa petite maison… et il me parlait de sa derniere impression, envers le ciel et ses ornements, envers l’obscure et la lune solitaire, envers les cris des animaux, et de la nature quand elle devient sauvage …il lui arrivait d’être qu’un étranger dans se village… il lui arrivait aussi de ne plus trouver de mirage, que dans la fièvre ardente de son cœur,
 En me parlant, il creusait mieux ses sentiments en profondeurs, commémorer le temps, et simplifier son apparence,  il était certes perdus… dans les nuits chaleureuses, à chercher l’eau pour sécher la flamme qui brûlait son cœur …. Tout ce qu’il me disait, me faisait moi-même perdre dans ses mots…

Je sais qu’il resterai toujours quelqu’un de mystérieux, quelqu’un de forte impression, dont chaque instant pour lui…à de nouvelle chance, des rencontres, des sourires, des colères, de joie….

Tout cela fera de lui un livre dont on a tous tendance à le lire… j'aimerais tant te voire un jour ... 

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