J’ai vu un corbeau,
Dont sa couleur donnait la rage au jour, comme une partie de
nuit venant visiter la lueur d’hiver,
c’est un phénix perdu dans les nuits des temps, qui s’endorme et se
réveil sans se soucier de lendemain, il reconnaît sa couleur, puisqu’il vient
faire l’ombre d’un inconnu, tenant un
aspect au fond de son ramage… mais pour moi il reste un oiseau malin, précieux
d’un coté, qui ne cache jamais sa
présence… pour séduire sa partenaire en parade, tout en faisait un long sonore
d’amour et de tendresse… je crois en avoir entendu le chant solitaire,
malmenant le vent de force… caressant les arbres au long de son altitude.. Sans
craindre l’aptitude, et il retourne chez soi, et vint se poser au creux de son
chemin, de ses plumes couleur de nuit, brillant comme une étoile enflammé, majeur
et protesté d’avoir été le meilleur ennemi de patriciens … c’est alors que je l’ai
reconnu, aperçu au ciel, comme une merveille de se beau jour d’hiver
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire