lundi 7 septembre 2015









. La brume avait étalé un brin de brouillard grisâtre et pâle

Le temps d’un cœur accablé, triste et pressé

Au bout de cet horizon néfaste ; une gloire surgis, des nuages se chamaillaient, se rossaient.

Un bruit sec s’exclama d’un ton effrayant, les oiseaux déguerpissent l’âtre, s’hybrider et s’unissent pour aller dans un monde utopique et rayonnant. Une intelligence collective les abrite du danger. La lumière est ailleurs et partout.
Un voyage se prépare et se démêle, et aucun ne révèle à l’autre ou se situe l’asile. Ils partent tous à la même heur, tous pour un seul but : l’havre
L’oiseau migrateur est parfaitement déployé, formant un dessin particulier, des signes que nous pouvons lire attentivement, ou nous pouvons décrypter l’amour en toutes ses formes.
L’oiseau ignore ce que le certain est pour l’incertain, leur bonheur se multiple à nombre de leur multiple évasion. Par extension d’un monde unique, un monde dilatant et infini.
Les éléments se cohérent après une longue période de pluie, un paysage s’épanouit en se nourrissant de la terre.
L’hirondelle est l’oiseau le plus connu de tous les oiseaux migrateurs, souvent on l’évoque pour les voyages lointains, ils tergiversent l’automne pour chercher le printemps, soumis à la gravité, ils volent en libérant l’envergure de ses ails, les faire monter et descendre, baisser et remonter, l’équilibre totale de la vie. Un lyrisme tout juste au dessus de nos regards.
Bien que ses ails montent et descendent ; une voix me dit c’est en baissant le bras et la relevant que nous volions jusqu’à replier nos ails et se laisser aller, tel est le mystère de la vie
Et si aujourd’hui j’ai décidé d’écrire ce texte, c’est à l’honneur de ma Tante qui m’a fait découvert le secret de la matinée, ou nous embrassons la vie pendant que d’autre la perdait.
On touche l’air qui venait de cette brise matinale qui de par nature nous motive, nous livre entièrement au bonheur.
J’étudie chaque matin l’aérodynamique de ces simples oisillons qui de par magie nous offrait une certaine science éternelle.
ALLAH dit : Sourate du Pouvoir (Al-Mulk) 19
N'ont-ils pas vu les oiseaux au-dessus d'eux, déployant et repliant leurs ailes tour à tour? Seul le Tout Miséricordieux les soutient. Car Il est sur toute chose, Clairvoyant
Je suis une dilettante de l’art de voler, fasciné par cette force qui m’assure certaines choses. Ce bon fonctionnement de la vie. La concorde qui est une loi. Nous y contribuons certains facteurs pour en comprendre et remédier nos lacunes dans la vie.

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