vendredi 7 décembre 2012

comment t'oublier ?




Comment t’oublier ?
Alors que tu es mon rêve du passé
Où les jours m’emportaient loin de la réalité
Où les jours me transportaient aux rêves des génies

Comment t’oublier ?
Toi, qui dors en ce moment à l’abri de mon réveil
Que je crains ta pure flamme que tu portes au creux de tes péchés
Je vois que tes signes que je les remplace par des mots
Et dont je forme une partie de poésie

Oublierais-je, l’amour que tu m’avais donné ?
Que je pris Dieu de te les récompenser
Par un beau paradis au fond de l’éternité
Ou je te rend l’odeur d’un parfum que tu m’avais donné
A t’aromatisé avec l’effluve de tes qualités
A Te citer ma bonne épitaphe de ma générosité

Mon ami, mon bien aimé
Les nuages pleurent tes transparences
Le soleil éclaire tes nuances
Te transpercer au fond de la terre
Où l’âme devient libre à soi même
Ou la mer jaillie l’eau des larmes
Où les pierres deviendront ton oreiller
Où le sable devient ton lit émerveillé   

Comment t’oublier ?
Toi amour de mon passé
Qui déborde à tout moment à mes yeux
Te voir arraché de ton corps
De tes yeux, de ta jeunesse
De l’espoir de vivre.

Laisse moi donc te dire mon dernier mot

Je t’aime 

dimanche 2 décembre 2012

je cherche ces yeux bleus d'azur




Je cherche ces yeux bleus d’azur comme dans l’été,
Lorsque une larme y luit une étoile vers le ciel élevé  
Un sacré jour d’automne qu’on le voit que dans les prés
Il m’avait promis des tas de chose, que j’ai jadis oublié
En effet, il m’avait promit une rencontre dans un voyage sacrifié
Dans un jardins et les rivières comme dans les contes de fées
Qui courent autour de nos rivages, nous chantant l’été
Ces petites fillettes en bretelle chantent jusqu'à juillet
Ne savent dire que aimer à ces charmants mariés

Je cherche ces yeux bleus d’azur comme dans l’été
Dans les brouillards et les dunes, je crierais sans cessez
Son nom qui m’échappent qu’une fois mariée  
Avec cette dame de mes voisinages, qu’elle me croit tant l’enviait
C’était certes l’homme de mes rêves, qui partent en toute éternité
Avec cette femme en hiver, et vers le beau temps d’été
Dans des endroits de ses promesses qu’il m’a tant révélé
Tout était si beau à nos jours même s’il gelait  

Je l’aime c’est vrai, je l’avoue, je ne t’oublierais jamais



mercredi 28 novembre 2012

Un enfant qui parle avec l'accent de mon pays



Ce n’est qu’un enfant qui parle avec l’accent de mon pays
Il disait à son tour : «j’en fais parti de ma patrie éblouie »
Il semblait très fort quand il plantait son drapeau déchiré
Il était là, il me parlait des gens qui lui ont fait tort
D’un monde dépendant d’un homme qui n’est pas le notre
C’est un enfant guerrier, qui parle avec l’accent de mon pays
 Vertu de sang, vertu de blanc
Emportant la gloire dans son grand cœur familier
Qui le mène jusqu’au bout de l’éminence,
 S’enfuir comme un étranger entre les bouts d’arbres se cacher
Loin de moi, il s’enfuit, criant liberté, liberté

Enfant, ne pars pas ainsi loin de ta famille
Ne t’emporte pas loin de tes amis
Le voyage est long et dure à jamais !
C’est pour les vieux à l’exil obligé
On en a besoin de toi aussi
Telle cette terre qui m’appartient demain et aujourd’hui !

 Ce n’est qu’un enfant qui parle avec l’accent de mon pays
Il disait à son tour, «  j’en fais parti de ma patrie éblouie »
Fière de son apparence, sombre et innocent
S’en alla vers les grandes hauteurs
Criant liberté, liberté

Enfant ! Il faudra que tu sois dans ton lit
Il fait déjà nuit, personne n’est dans le parage
Reviens donc à tes amis !

Il pleure avec une voix qui chatouillait les âmes perdues
Il bavardait seul avec la nature chantante liberté
La mer le consoler, la montagne le répondait
Du sud au nord, son accent porte en lui un adorable guerrier


vendredi 23 novembre 2012

Pourvu qu’on s’aime


Je veux qu’il vienne ce temps ou on apprenne,
L’amour à coup sur ou à coup dure,
Pourvu qu’on s’aime…





Ne m’abandonne pas en plein enfer, je ne peux achever notre liaison précaire
Je ne veux commencer une vie sans compère  
Pourvu qu’on s’aime

Après tant de patience, dont elle est devenu art de ma souffrance, apprendre à soigner avec le temps la carence de nos espérances…


Tu es qu’un vieux, dans mon alchimie du cœur, Je me suis habituée à l’hallucination de ta chaleur
Au fond de moi-même, des mystères, des troubles et des soifs, Le désordre dans l’esprit, fait souvent de nous « des surcharges »

L’amour qui ne veut sécher, ni enlever ma peine, sans toi, l’oisiveté était ma lourde fièvre,
Comme un ciel sans nuage… que l’espérance auquel garde le soir
Ne me laisse pas enviait des bêtes de leurs amours et leurs caresses…


Je veux qu’il vienne ce temps ou on apprenne,
L’amour à coup sur ou à coup dure,
Pourvu qu’on s’aime…

dimanche 28 octobre 2012

âme perdue






Je coure, je coure, comme une folle, à atteindre le sommet des montagnes, à se jeter dans la mer dont les vagues montent outre ma hauteur…
Faire une halte dans la forêt,  arborer le symbole de ma destinée,
Je veux prier avec l’air que j’ai, la faire suivre avec la brise de la matinée
Ce n’est qu’une prière pour briser les frontières, arriver à l’au-delà de mes repères…
Pourvu que tu me verras un jour, me demander à t’expliquer mes galères 
L’amour qu’on a toujours au fond de nous, brises à tout moment nos cœurs
Ce n’est qu’une façon de te dire je t’aime,
Qu’est devenu une répétition sans cesse, qui ne vaut plus mes sentiments que mes grandes peines
Et à travers ton regard, une route à mener…

Et je coure, je coure, comme une folle, à se brûler avec le sable du désert, à se saouler avec le bruit du volcan d’Island, me retrouver entourée de vautours, comme une proie à leurs ressources,
Mais je ferais certes halte dans des grottes et des cavités,  crier sans cesse la mélancolie dont le vide répond à ma détresse, et laisse enfuir les rongeurs de puits….. je veux certes prier avec l’air que j’ai, la faire suivre avec la brise de la matinée
Ce n’est qu’une prière pour briser les frontière, arriver à l’au-delà de mes repères
 
 Difficile cet amour qu’est devenu aventure démolit, difficile de courir sans but précis
Quand tant de drames nous pèsent des larmes, laissant le cœur prier sans cesse, sans méprise cet espoir qui soulève mon regard, vers la beauté de ciel, là où j’arriverai à ta hauteur, là tu ou sois, Dieu me rendrait à toi,

Âme perdue 

jeudi 25 octobre 2012

mon amour caché






Oh mon amour caché,

Tant de fois je voulais m’approcher de lui, afin d’éterniser une nuit dans ses bras …
Mais dé l’aube, s’en alla aux prises des voies, laissant agir le souffle de sa fuite, à éteindre ma belle chandelle, dont les phalènes tournaient autour d’elle sans répit, jusqu'à ce que la mort l’en suivaient…
Jettent ainsi l’amour sur la flamme et l’écraser à coup dur…
Je Me levai dé que l’aurore me parvenait à l’esprit, à chercher un signe de son apparence, cacher dans le coin du néant…
Qui est donc cet amour ? Que je le sentais au pré de moi, comme un être de toute dualité…
  Pourtant il avait l’air d’exister, avec tous ses dialogues entre lui et moi
          D’une beauté absolue, et d’un cœur aisé, rien ne semblait faux, non rien !

Je suis telle une amoureuse sincère qui cherche son bon amant,
Mais c’est presque lui que je veux, Qui naît que dans mes rêves, et meurt dé mon réveil 
La bougie seule me le fait revenir à un instant de magie, dont elle est devenue une passion de mon imagination
Sa tête flotte par onde du feu, ses yeux apparaissent par ma propre lumière, beau et ravissant, pure et parfait….
Ni le miroir m’avait reflété son visage, ni aucune photo ne me l’avait montré… il est venu d’un coup dans mon rêve… caressant mon esprit perdu ou caché, comme il l’est ainsi… 

Oh mon amour caché,

Au bout du rêve, j’ai tenté de te dessiner avec l’ancre de ma lumière,Toi mon amour caché, qui ne dit jamais rien ou, qui ne me voit guère prés de toi…Ni dans ton cœur remplis de bataille, ni dans ton cerveau encombré de loiMais moi je suis que ce cœur solitaire qui cherche à le donner à ce vainqueur qui le remportera…J’inventerai mes rêves pour venir à toi, m’incarner à une étoile, pour te guider vers moi, croire à moi, qui ne peux rester sans toi, tu es ma seule raison de mon réveil le matin, et mon unique pensée la nuit, 

mardi 23 octobre 2012

mon jardin et mes roses





Ce grand chapitre qui domine ma vie, grandit dans ma poitrine,  s’y insère,
Telle est ma vie, rien n’est grand, rien n’est petit… mais tout pèse, des tonnes de roses épaisses et célestes…
Je mets chacune dans un calice, dont je bois l’eau de leurs étonnants pétales… chacune me tapisse mes lèvres par leurs couleurs avérés, des nuances intermédiaires, et un parfum qu’est devenu l’air  sulfurant …

Je vis dans un grand jardin, là ou j’y crois, là ou je ne fais que attendre demain, cueillir, peut-être d’autres jolies roses…
Je ne fais aujourd’hui que descendre mon escalier, de haut jusqu’à la fin de ma dynastie, chercher à fuir l’hiver, outré de pluie qui remplie la mer, ou les vagues flottent par onde, ou l’ondoiement que cause le vent…
Le temps tel un arbre qui contient des tas de feuilles juchées et nombreuse d’elles sont mortes… elles quittent la racine et tombent à jamais dans le sommeil des nuits….

La nature m’entoure et je ne fais que méditer sur sa perfection divine…. Sur sa tolérance qui fait de moi philosophe, destinée a dévoiler la nature profonde des êtres et des choses,
Les roses ont sus fleurir le bonheur pour l’être qui naît pendant la saison printanière…et parmi eux Omar Khayyâm dans ses quatrains…son jardin et ses roses
Sois heureux un instant, cet instant c'est ta vie
Vois, la brise a déchiré la robe de la rose,
De la rose dont le rossignol s'était enamouré ;
Faut-il pleurer sur elle, faut-il pleurer sur nous ?
La mort viendra nous effeuiller et d'autres roses refleuriront.

jeudi 18 octobre 2012

je te veux prés de moi





Le calme envahit mon cœur, dans cette solitude méconnut, devant la mer aux charmes de la vie, à l’ouverture de l’esprit, aux rythmes des vagues qui jouissaient ma mémoire, et me parlait d’une belle contrée dans mon cœur, ou le soleil n’avait pas suffit…ou le vent avait tout remporté… et que les mouettes avaient tout avalés

Un souvenir d’un chant lointain, qui m’appel de temps à l’autre, a la profondeur de la ligne de la mer, j’entend un cri qui va droit vers mon esprit…  battu ou mordu de n’avoir pas pu répondre a ta perte,..
         Le rocher dont son corps se mettait repos, et qui se glissait en plongeant en face de moi, cette brise-lame m’est devenu pour moi une pierre prestigieuse et chœur de ma nostalgie…   
Combien de fois ai-je contemplé ce paysage, par lequel le monde commençait à m’appartenir…
Parler avec une scène immense, dont la mer agitée semble toujours promener ses eaux à l’autre bout de la terre, comme une impression qu’elle a déjà tourné et que les ages ont transportes de nouveaux passagers sur cette vie momentanée…
Tout semble un grand tableau, ou je suis assise au gré de ma peine, à l’éclair de la sympathie de la lame qui transportait tant de joie et d’allégresse pour tout cœur enflammé…

Les regards semblent tenir une beauté collée à l’ouverture de l’œil,
Quelle est belle la nature ! La mer mélodieuse qui renvoie des pensées nonchalantes, des désirs vagabonds, nous laisse aimer, rapidement, cette sempiternelle créature qui nous vient à l’esprit et s’en aille à l’aube du jour…

L’ombre de son corps me traverse le regard, et me laisse suivre ses pas en derniers,
Où est-ce que vous partez comme ça ? Se filer entre les chaînes des montagnes, et sombrer vaguement, comme le soleil qui s’en va…
Le vent était lourd, ou les reflets ne se faisaient pas, le soleil au moins s’y lèvera demain, mais est-ce que vous feriez de même, vous?

La mer berçait et perçait mes rêves toujours, hélas la vie commence à m’appartenir…ce n’est qu’une façon de dire je te veux toujours prés de moi.

mercredi 17 octobre 2012

c'est la fin d'octobre






C’est la fin d’octobre
Et tout sombre en octobre
Le ciel est très dégagé, lourd et agacé
Mes pieds ne tiennent plus les mêmes repères
Mes yeux semblent aller de l’autre coté de la vie
Ce n’est qu’une façon de se quitter
Quand on n’en a plus de cœurs aisés
Quand on n’en a plus de mêmes envies

       C’est la fin d’octobre
Et Tout sombre en octobre
Le soleil devient sourd à toutes nos envies
Ce n’est qu’un pas vers l’oubli
L’ombre qui se perd avec l’ombre de la vie
Ce n’est qu’une façon de se quitter
Quand on n’en pas plus de cœurs aisés
Quand on n’en a plus de mêmes envies

samedi 6 octobre 2012

un rendez vous





Un peux de pluie, un peux de neige
Presque personne dans le parage
C’est une nuit pas comme les autres
                Triste ou heureuse
C’est peux être une nuit spécialement
   Pour nous deux


D’où vient ton sourire donc ?
Est-ce la neige autour de toi ?
Où est ce la pluie qui te fait sourire, ce soir là ?


Te voir heureux dans une nuit si triste
Est-ce mystérieux tout ça ?
Est-ce un premier jour d’un amour fort ?

Il me répond :
Je sens le feu partout
Ta voix est presque partout dans les coins
Ton parfum est dans mes vaines

Un peux de pluie, un peux de neige
Presque personne dans le parage
C’est une nuit pas comme les autres
    Triste ou heureuse,
C’est peux être une nuit spécialement
Pour nous deux

Un soir monotone et brumeux
Il est avec moi,
On se regarde
On se tient la main
C’est le premier soir avec toi







samedi 22 septembre 2012

quelque notes de piano



Quelques notes de piano
Quelques refrains éternels…
S’en frasent en cris d’amour

Musique
Étrangère comme une mer qui sépare les montagnes…
Comme le vent qui voyage dans tous les océans…
Sous une vaste certitude …. Sous un vaste désespoir aussi


Un refrain qui malmène les matins d’été et une saison male fréquentée
Les nuits à perdre la raison, avec l’amour qu’on le ressent derrière le vide du néant
Usant le pinceau, faire des lignes sur les pages blanches…..
En tracent le chemin qui mène vers la dernière ligne de nos vies….
Et des mots qui forment des nuages ; pleins de fardeaux, pleins de sentiments….
                          
Ce n’est qu’une musique qui se joue….
Avec quelque notes de piano
Quelques refrains éternels,
S’en frasent en cris d’amour

 Cette musique,
Qui me parle, sans me connaître
            Etrangère
          Aventurière et nomades dans touts les âme

A la main une guitare, sur une scène remplis de cœurs…
Qui dansent avec l’euphorie de la voix ;
Me laisse rouler en vain sur des lignes de mes pages
 Sur son regard qui brille de loin,
Sur sa longueur profonde

Mais ce n’est qu’une musique
Nourrie de mots et du vent …
Qui ne me reconnaît plus…
Etrange, comme le monde change…


La musique, une inspiration dans le sang, et on le sent…
Avec les pigeons partant par les grands vents…
Traçant le chemin avec leurs ailes et leurs corps menacés…
Dessinant un cercle d’amour avec tant de finesse et de tendresse


Il y a ceux qui arrivent dans leurs coins, mangent et abandonnent leurs petits
D’autre s’accouplent, et se piègent par un chasseur affamé
Des ails qui tombent déjà, ou d’un orage foudroyés
D’une pluie qui efface à perdre les lignes tracés…..

Ce n’est qu’une musique qui se laisse aller…
Une note d’un piano, et une voix désespérée…
Quelle euphorie… ! 

samedi 15 septembre 2012

l'horloge



Certains goût me parlent de l’aspect du temps, des ressources épineuses et des impressions limpides, qui nous relie avec le temps d’hier



L’horloge ne fait pas de guerre, l’horloge n’est que selon moi un temps qui s’en va d’un coup de tic tac, et nous laisse marcher à l’heure exacte



L’horloge ne fait pas de menace, elle caresse chaque peau et nous fait marquer les ages

Et dans la foule, les heures se faufilent avec l’ombre de mon ombre



Et dont les larmes qui jaillissent à chaque pas disparu avec le temps…de prés nos ombres se séparaient, d’une mer nous aveuglait le regard, et d’une montagne nous baissait la pensée, et nous laisser s’habituer à l’absence de notre cher bien aimé



Et des doigts qui se levaient quand on se levait, des jugements et des critiques qu’on recevait de la part des esprits glacés, qui dominaient le monde par leurs faits….



Et par la fin, tout s’en va, et tout fanera….



On ne chantera pas toujours la même chanson,



On ne pleurera pas toujours pour les mêmes refrains



On ne quittera pas toujours pour un premier soupçon



Et chaque pas, une nouvelle obsession, à attendre ces dizaines de perdus, à fuir les malentendus, à chercher un nouvel ami, à avancer avec tant de souvenirs…

Et le plaisir qui évapore les douleurs dans nos cœurs

L’horloge une coulisse, une sylphide comme il avait dit Baudelaire dans ces délices…

Elle dévore nos plus belles saisons, mais elle nous accorde l’air d’un temps d’hier, elle nous donne cette belle photo jaunie ou blanchie, qui nous humiliait de l’instant présent… comme pour dire qu’on existait déjà dans cette saison printanière….



Tic tac, des heures qui se suivent et partent avec tant de souvenirs, des images qu’on capture avec nos yeux, des sons et des voix qui nous chuchotent un amour potentiel,

Des minutes mortelles, et des visages qui se changent à toute heurs,

Tantôt on se mari, tantôt on accouche, ou repente chaque être vers la maturité en laissant tout un livre derrière nous



lundi 3 septembre 2012

dis moi


Dis moi,

Si la fleur rose est fanée encore une fois

Dis moi,

Si ses yeux ont noircis leurs éclats

Dis moi

Si je suis toujours abandonné en éclat de son coeur…


              Et, je ne quitte guère cette galaxie qui traverse mon esprit 
M’emmenant vers le plus loin des chemins
                                  Et je ne quitte guère cette bergère
Dansant devant la lune solitaire
                      Et je ne traîne plus comme la nonchalante fille de mon passé
Qui m’abritait de faux espoir
                                                
 Je suis telle un astrologue aux yeux de l’univers…
     Qui dort ébloui des mémoires de son existence
Le cerveau remplis des chiffres de nos rendez vous…
Et de ces distances que nous menons aujourd’hui …
  Que les ondes sempiternelles ont explosé des milles cristaux
Des actes de bienfaits qui se sont envolés 
               Et les maux qui nous ont séparés

Voilà donc le destin qui est tel un feu follet de poussière 
    Qui cherche à nous dissiper de cet effluve qui nous relie
De ses mains qui caressaient ma belle vie
    En outre le soleil brille seul sans s’éteindre…


Dis moi

S’il écoute toujours le mot dernier qu’on a échangé la dernière fois

Dis moi

Si l’ombre de souvenirs lui revient de ce temps qui n’est plus là

Dis moi

S’il m’aime quand je ne suis plus là




dimanche 19 août 2012

Quand l'amour nous tient...



Marcher au cours du temps, flipper les heurs de leurs circulaires ; et mettre une pause devant la mer…..

Je ne parle plus, je ne souris plus, je ne pleure plus,

Je vis dans le silence de moi-même ; lentement je marche le long de mon rivage, trop lentement, peux être, suivre cette belle étoile qui me fascinait curieusement, et amoureusement de ce temps qui ce file de mes yeux, comme le voile qui nous échappe et nous laisse dénudés,
Se mettre sur la rive un instant, en contemplant le va et vient des vagues, qui absorbaient mes peines, les balançaient avec la mer entière, puis les noyés jusqu'à la lie ;
Mes cheveux chapardent avec la brise qui se soulèvent et se chamaillent. Le crachin venait d’un coup enveloppait le ciel étain. Soudainement le soleil s’éclipsa, jusqu'à froidir le sable d’or….

Chacun sa destinée, et chacun sa chanson qui le laisse aller avec l’éblouissant regard…
L’age d’un amour qui tourmente nos saisons d’été, nous éclabousse de tant d’imaginations
Il y a ceux qui savourent la guitare, et d’autre chantent jusqu'à briser les frontières
Et moi, je ne faisais que contempler la randonnée de mon univers

D’abord, un instant, je réfléchis à ces gens que j’ai connu au cours de mon trajet, au cours de mon chemin, qui ne menait nul vers la brève pensée, que dans l’immensité de l’amour…
Cet amour était notre seul verre que nous buvons hier et aujourd’hui

Ainsi, toujours des nouvelles connaissances, des nouveaux préceptes, dont ils nous avèrent des pensées emportés avec des imaginations qui nous feront vivre toute notre vie en une éternelle nuit …

Je me sens d’un coup très vaste, devant la mer qui mène vers l’inconnu, des vagues agitantes, bouleversante, qui domine librement mon âme…
Dont elle me pousse a jeter l’ancre dans mes feuillages, à la façon dont je voulais écrire tendrement ce soir, cette fille que je suis, la fille que je veux l’être, et quelque fois la fille que j’étais…
........................................................................00000..................................................................
L’amour m’envahit de temps à l’autre, et je ne trouve plus son remède que de plonger au creux de ma feuille, écrire et dire des choses qu’on oserait confier à personne
il m’incarne souvent a la poussière, dont je ne trouve plus mes os ni ma chair, ni mon regard, qu’a travers l’homme que je désirs…
Devant la mer, j’aimerais rebrousser le chemin pour venir vers Lui
L’écouter parler de ses plus belles histoires, au gré de sa beauté…
Dans la compagnie d’un tel homme il vaut mieux écouter que parler Il y a tant de façons de se taire en écoutant parler l'homme qu'on aime, A dit Jean Anouilh
J’aimerais être un peux plus proche de lui, afin de me mettre dans ses bras, à écouter la belle euphorie de sa voix,… et toute la vie sera une aquarelle de jardin, aux couleurs de nos parfums…

Quand je l’ai vu pour la première fois, j’ai goûté de sa saveur un amour potentiel, qui ne cessait de m’évoquer chaque nuit, un éblouissant coup de foudre, qui ne mène que vers le fou espoir, un inconnu espoir aussi, telle cette marrée qui n’est qu’une profonde vue au creux de l’univers…
C’est en regardant la mer aujourd’hui, que son regard me traverse l’esprit, voyageant sur le ciel, jusqu'à s’attacher a un phénix, lumineux, maturé, certes, m’emmenant sans doute vers ses pensées,
Je crois que ce rythme de l’aimer, me rend poétesse, et je souffle chaque mot de nos prouesses
C’et un amant qui danse comme je pense, tenant les discrets pétales de fleur, sensuel, rosé d’une couleur venant d’outremer…
Il est telle cette vague, qui revient en boucle et en désordre, tout en sueur, ses lèvres riantes et ivres, qui racontaient à mes lèvres une sensualité singulière, je rouvre mes yeux et j’observe mieux ce ciel gris, capricieux. Valdinguer les bateaux sur sa surface, et moi un instant devant la mer, l’observer de loin, enchanteresse, l’œil anxieux..
Et je vogue en silence, afin de l’entendre sur l’onde et sous les cieux, suspendus la haut, d’un après midi ensoleillé, d’un inconnu à la terre, et d’une voix qui m’est chère….et tout reste un temps suspendus dans ton envol, heure propice, un des plus beaux jours de ma vie
Mais je me demande en vain quelque moment encore, à coté de lui, de tout ce temps qui s’échappe et fuit, d’être un peux plus lent cette fois ci, un temps de jaloux, ou on verse le bonheur dans les calices et les boire à la même vitesse que les jours qui nous restes à vivre ou a revivre…
Que ce vent qui gémit aujourd’hui, puisse me faire une clémence, de s’inca
rner à un parfum d’amour, effluverait ton esprit,
Que ce tonnerre qu’on entend aujourd’hui, puisse te dire des choses que je n’ai jamais prononcées, et te faire entendre l’amour éternel

mardi 14 août 2012

une pensée




Parmi toutes les fleurs, j’ai aimé les pensées, ces fleurs violettes et minces,
           Qui offrent de la  tendresse a cette femme désespérée
Ces fleurs qui nuisent pendant que nous les contemplons…
Et qui dansent, jusqu’a fleurir l’esprit en étincelle
L’art de sa beauté, nous mène tout de fois loin de la vie,
Loin des opulences
 Et loin de bruit….
Peut être aurais je à cœur d’offrir aux être aimés quelque pensées, pour les jouir d’amour, et les accompagné dans leurs âmes… ainsi à la fois, renforcera ce plaisir, afin de sentir la marque de son parfum….
  Je vous invite à prendre une fleur de ce bouquet entier, et que chaque pensée sera une amitié féconde 

dimanche 12 août 2012

une ivresse





Est-ce une perte du temps, quand je ne cesse de te contempler?

Est-ce lire tes pensées, et sentir tes peines, me feront perdre mes jours ou me les gagner ?

Par tous ces mots qui ne cessent de m’évoquer l’ivresse, De cet amour qu’est dans le calice


Est-ce un atout de perdre la raison, quand on a mal au fond de nous ?




Je me promène au cours de ma vie, … vivre et te révéler mes secrets
Je suis comme ce polar qui ne cesse de t’étudier et te poser sur son livre sacré
Moi, cette femme qui ne vit que pour toi, pour éclabousser tes doigts et puis les ouvrir a moi
Afin que tu m’offres cette tendresse que j’ai jadis cherché au fond de toi, dont je suis devenue une aventurière et une nomade dans ton âme et ton instinct…. Toi Amour qui rend l’Homme éméché, volupté de ses chamois qui courent dans tous les sens….
Toi Amour, qui m’a rendu Femme, amoureuse de cet homme, que je l’aime comme un beau matin, comme un printemps qui n’a point de mauvais temps que d’ordinaire jardin…
Le contempler à tout moment, et sentir l’effluve de son parfum, subjuguer mon âme et me rend amoureuse de ses jasmins….
Ainsi sa voix vient d’une langue d’âme, qui m’isole, et m’allèche à décupler mon cœur, et le mettre dans mon large destin… 


Est-ce une perte du temps, quand je ne cesse de te contempler?

Est-ce lire tes pensées, et sentir tes émotions, me feront perdre mes jours ou me les gagner ?

Par tous ces mots qui ne cessent de m’évoquer l’ivresse, De cet amour qu’est dans le calice

Est-ce un atout de perdre la raison, quand on a mal au fond de nous ?





Poésie, me prétexte la folie, d’une douce euphorie, qui me laisse errer ta compagnie, que dans mes pensées extatiques, ou je te chante la jalousie glorieuse de tous ces amants de la vie,
C’est que, moi, d’abord je suis en quête de l’excentricité de cet amour qui est au fond de moi…
Cet amour qui se forme, d’une luminosité de l’âme et qui effleure la saison de chaque année, avec de nouveaux parfums et de nouveaux préceptes…
Ecouter notre folie parler, comme pour faire preuve de l’immortalité, comme un ivre d’un vin, qu’on le boit jusqu'à la lie…..

samedi 30 juin 2012

un regard



Les regards fortuits, qui se font caressés avec les yeux, menant la beauté intérieure vers l’extérieur, et laisse parler nos cœurs avec une intention délicate…
Les âmes deviennent aventuriers, circulent au bout de la conscience, et cherchent à se lancer des mots ou un coup d’œil qui balance ce désir…. Frappant le cœur et le laisser battre a tout moment,
Quant a moi, j’ai du me mettre a pied sur terre, pour voir des yeux brillants me lancent des explosions au fond de moi, comme des rayons de soleil se lèvent au bout de mon destins…
La voix, était celle qui m’a poussé a voire mieux son cercle d’œil… me rougit une fois s’adresser a moi,…
Son aspect m’attirait le plus, comme une étincelle vigoureuse qui domine mon enthousiasme vers le coté le plus énergique de la vie qui est «  l’amour »,
Comme dit Aznavour : le hasard curieux qui provoque les choses, et le destin pressé, un instant prend la pause……
En parlant d’un destin, je me réfère vers son sourire qui m’a bouleversé à un instant, en me balançant avec les vagues… agréablement parfait a mes yeux, comme une tentation de boire l’eau de l’amour, qui se trouvait en plein milieu de la mer.... d’un filtre magnétique nous tourmente et nous attire jusqu'à frissonner la peau…et donner a nos cœurs un manteau, qui se trouve a l’ombre de cette personne aimable…
Mais ce n’est qu’au printemps ou l’été que l’amour résonne, …tout ce qu’on vit, nous fait perdre des milliers de nuits, a penser a toute chose mal établie, comme pour montrer a l’esprit le bon et le mauvais, et chercher a mettre fin a tout ce qui nous ennui…
L’homme que j’ai rencontré fait parti de mon chemin, une petite partie de ma vie, qui ne peut s’oublier, qui ne peut se remplacer…. Car une présence de quelqu’un au bout de moi-même ; me résonne a tout moment, même après tant d’année d’absence, me laisse penser a son parcours et son existence dans la vie….  Et c’est ainsi qu’il devient une personne aimable, caché au creux de mon livre, au creux de ma liberté……..


lundi 7 mai 2012

le silence





Quand on parle d’un silence… le silence qui nous laisse oublier le temps, qui nous laisse cacher le fond… le silence qui fait croire et douter de tout…
Le silence semble tel un mensonge de la vie… que la réalité nous semble frustré…
Quand on sait que le silence brille à plein feu, et qui débordera la flamme au fond de nous,
Dont l’espoir pourra se faner de la chaleur qui nous tourmente d’un coup…
L’espoir qui ressemble à cette fleur au milieu de la notre, au milieu de notre existence, qui n’a point de couleur que l’indifférence…. Unique pour soi, unique pour nos toits… qui se diffèrent l’un à l’autre, dont on est seul créateurs de sa valeur…comme ce soleil exigent sa beauté en dehors des nuages, baptisant son honneur en gratitude des cieux, et de la terre aisée… que seule la lumière fera d’elle une sérénité… 
On est tous dans l’inconnu, qui déborde l’eau et de son absence, qui déborde l’amour et de sa carence… qui nous laisse flotter comme un poisson entre la mer et la terre…
Croire à ce genre de chose, nous fait croire à la vie et la mort, ouverte pour nos esprits, qui produits la déchirure ténèbre, venant de notre fond qui s’allume derrière nos rêves… mais on voit guère son absence, qu’au moment la rigueur de nos fleurs…
Le soleil brille en silence de ce temps dans son horloge, de tour et de son retour, faire des notions à nos esprits, réveillent les consciences endormie dans le sombre de la nuit, la rafraîchie avec la vertu de la sénescence de ce soleil, fort et poudroie… son aurore est notre seul cris pour nos âmes, une voix qui nous fera levée en silence…

Le silence nous laisse écrire le monde, le peintre en brouillard… le peintre en lumière… masqué les couleurs, et laisser fondre le noire comme un signe d’effroi, de l’anxiété, la peur qui sortent de notre forts regards, dont le corps se retrouve évoquer son ombre, au milieu de la lumière… et c’est ainsi que le noire devient mystérieux pour l’humanité, 

On est censé de ne jamais comprendre la réalité, que par moment de la sensation de la perte, que nous réagissons pour ce silence qui se trouve en nous, qui nous laisse faire des mots, avec ce hasard curieux qui nous fait provoquer le destin… et nous nous trouvons au milieu, chercher à cheminer le temps avec nous même… mais ça brille le jour au jour, ça brille des milliers de feu… que nous écrasons avec nos ombres face à face avec le temps qui passe …

La nuit je réagis mieux, et dé l’aube j’oubli ma peine, la victoire de mon esprit qui s’endort avec la conscience… qui domine mon cerveau de la peur de l’échouement… et nous fait croire à ce destin brillant avec les étoiles…. J’entend à ce moment mon âme résonne, de ce silence, étouffé des sensations, qui nous donne envie de contacter notre seul et unique lumière qui semble la haut, nous regarder… parler en silence avec notre digne prière… croire à son attention envers nous, vers notre livre qui se noie dans la transparence de son éclat,

Le corps aspire et inspire notre ombres, bien entretenu, , d’un organisme spirituel,  d’une parfaite réalisation, que par autrui la mort, je n’ose trop parler de ça… de peur de me tremper, de peur de ne jamais m’en sortir… mais je sais une chose que notre image est notre salut, et notre foie fait de soi une diffusion de nos qualifications qui sort à travers nos yeux, nos bouches, nos nez, nos sensations, tels les rayons du soleil qui brillent pour saluer la vie,
Pour donner une couleur et un goût à toute chose existée… 

Parler de soi, nous fait piéger… tant le silence règne, et nous fait soliloquer les transparences de la vérité… que nous doutons tous les jours, que nous comprenons que sa définition comme une puissance de la parole...


le vent




Le vent donne toujours un sens à notre vie… ainsi soufflant avec nostalgie, ramenant les feuilles jusqu'au nos pieds… et la mer enragée…débordera en méprit tous ses vagues… criant l’orage et la pluie…
Il pleut comme je pleurais y’a une dizaine d’année… de ce vent qui me faisait tant peur la nuit…
Quand je me retrouvais seule au lit, prés de la fenêtre, enlacée avec mon jouet…
Je n’aimais guère ce bruit… il me faisait craindre ma vie… sans connaître la raison de ma peur… que seule ma souffrance négligeait ma conscience, mon intelligence…
En regardant dehors,  je voyais le ciel couleur éteint, cette couleur que aujourd’hui me parait fascinante…. Celle que nous l’utilisons dans les toiles inspirantes…
La sensation de ranimer ma passion ardente… de cet art que je le trouve au fond de moi… l’art qui vient de cette peur de mon enfance, de ma souffrance, et mes tourments,
 Cette enfance qui se trouve toujours au fond de moi…qui n’a jamais quitté mon esprit, et me laisse toujours admirer ce vent sans regrets, sans peur, mais autant qu’une bénédiction de ses succulences,
La peur que j’avais il y a une dizaine d’année,  m’a donné tas d’idées, tas d’inspirations, ainsi que l’espoir  
Tout cela me semble une frayeur qui a influencé ma vie, qui a agité ma peine, et m’a inspiré la feuille, qui m’a donné avec le temps des fleurs,  
Ces fleurs là sont fait pour être dans mes mains, les arroser avec l’eau de ma sueur… la donner une valeur celle d’y croire à ce destin… croire à lui semble notre foie… que sans elle, ne nous parcourons aucun chemin.. 

dimanche 6 mai 2012

j'aimerais que tu reviennes ....



l'amour d'un temps perdu avec ma belle étoile


Un sourire éblouissant, un regard admirable, un geste romantique ;
Son beau visage comme un beau paysage….Comme un tableau que je tiens au fond de mes yeux, Son beau sourire, qu’il se peint souvent à mes yeux… dont mon cœur devenait palpitant…
Son geste pareil qu’un vent doux et frais, me laissait aller avec un parfum fleurissant…Sa romance… c’était un temps de la cadence ; une réalité qui semblait féerique, m’éblouissait par sa voix angélique…
Une voix qui m’a tant retentissait l’esprit, dont je me retrouvais ensorceler de cette beauté magique….
Toi mon cher bien aimé… dont ton regard me laisse faire des poèmes et des récits, des lettres et des mots… sans une réponse, sans clémence…
 Mais je vie de jour au jour, pour ne jamais quitter ma belle étoile… qui se trouve la haut… loin de ma peine, loin de mon ombre… celle que je la poursuis avec mon silence, d’un impossible espoir….celle de savoir que t’es loin de moi.. Loin de mon regard. Loin de mon chemin  Ce n’est qu’un souvenir qui danse sur ma mélodie du passé….qui cherche à te capturer de cette image…J’aimerais que tu reviennes… pour te prouver l’amour que j’ai pour toi…


Je t’aime
l'envie de ta présence

mardi 1 mai 2012

belle femme sauvage






 La nature, belle femme sauvage, qui nous laisse abasourdie de sa tendresse,
 Elle vient souvent me raconter ses caprices, et moi seule à l’écoute de ses chants, dans mon silence obscure, l’attendre à son dernier tour de jour, à son fidèle oeil de flamme, qui sort de ses profondes mers, laissant agir ses lumières au creux de son ciel…
Des rayons à plein feu, caressant nos esprits, dessinant les traits de feu, comme une toile avec ses pinceaux, variés de couleurs, varié de lumières… de rouge, d’orage, de bleu…
Et des milliers de gens devant la mer, en contemplant sa splendeur, qui faisait tant jouir l’air jusqu’à embellir nos visages, et le faire traverser les ages…
La nature, belle femme sauvage, à une voix très angélique, ses larmes dansant jusqu'à nos pieds, fondre nos traces au fond d’elle, et nous laisser sans choix… en nous glissant nos esprits et l’intégrer à sa transparence.
D’autre rester à l’ombre de l’existence, à la brillance d’étoile, récolter les écrins dorés de leurs lumières, les faire attacher à nos cœurs, pour inspirer l’espoir, l’espoir de parcourir une vie flamboyante…
Tout cela nous fait croire à l’image du temps qui s’étale à nos consciences, nous faire perdre dans sa diligence, nous écraser pendant nos absences, et nous reviens qu’au moment de notre pertinence… quand on se sent perdus avec le vent…ce vent qui emmène les corps en sable, les ruiner dans tous les sens….
 Oh belle femme sauvage ! Fameuse femme qui semble vivante aussi… telle nous les êtres, vivons aussi tes défauts, que grâce à eux que nous existons, que les qualités réagissent et nous laissent bien entretenues …
Tes chagrins ne sont pour moi qu’une pureté… qui bénéfice une résurrection a la terre, à sa fraîcheur, réagissant jusqu'à fleurir et  enfouir ses trésors… en nous laissant imposer nos recherches scientifiques…des mystères et des théories pour des nouveaux préceptes…
En ce jour... son air raisonne en moi, par ces histoires mêlant nos différences… et moi devant cette femme d’une beauté sauvage, me laisser entretenir mes désirs, mes pensés, mes mémoires qui ce trouvaient bien au fond de moi, tout en les balançant avec ces vagues, les mélangeaient avec la mer entière, éreintée puis souriante de les avoir noyés…. Les faires disparaître avec cette magie que cette femme sauvage m’a attribuée….  

samedi 28 avril 2012

un étranger





Je sais qu’il y a des personnes que j’aimerais tant leurs faire preuves de mon amour envers eux… pour moi… se sont des couleurs… et chacun d’eux a sa couleur à lui… qui décrit sa présence, sa singularité, sa qualité…   

On a tous une chance dans cette vie… la chance de connaître des personnes… qui nous laisse différents des autres, qui nous laisse scintillants de la réalité…

Quoi de plus de parler d’un étranger… que j’ai connu à travers un écran mystérieux… par une boite de communication, par une virtuelle vie…par un hasard curieux… qui a poussé le destin  à relier deux cœurs, deux âmes, sans rapprocher les corps… et c’est ainsi qu’on a commencé à parler,  et à dire les mots tendres, des sincères adversités, des réalisations, confier tout nos confidences… sans méfiance sans soupçonne

Cet homme là est un étranger… un héro aussi, comme me l’a dit un certain homme  «  ton ami est un héro »  cette phrase je l’ai toujours retenue, autant qu’une phrase qui présente quelqu’un de potentiel, de force, de générosité, de la courtoisie… tout cela je les ai appris par tout ce qu’il m’a écrit…. Par ses histoires, ses jolies histoires qui ont commencées par un amour fort… de ses charités, et de son soutien envers les gens, dans n’importe quel événement… c’est un homme qui  tient un  coeur assez expérimenté, pleins de liaisons, pleins de sentiments, … je ne comprenais plus d’où venait cet intuition… qui le rendait un homme fort de courage et de volonté…

Maintenant je le vois plus un poète que autre chose… il reste souvent dans les hauteurs de Kabylie…. Entrain de contempler les étoiles… et croire à son destin, en parallèle qu’a son cœur, qui le laisse indifférent de la vie… il m’appelait souvent quand il se trouvait au plafond de sa petite maison… et il me parlait de sa derniere impression, envers le ciel et ses ornements, envers l’obscure et la lune solitaire, envers les cris des animaux, et de la nature quand elle devient sauvage …il lui arrivait d’être qu’un étranger dans se village… il lui arrivait aussi de ne plus trouver de mirage, que dans la fièvre ardente de son cœur,
 En me parlant, il creusait mieux ses sentiments en profondeurs, commémorer le temps, et simplifier son apparence,  il était certes perdus… dans les nuits chaleureuses, à chercher l’eau pour sécher la flamme qui brûlait son cœur …. Tout ce qu’il me disait, me faisait moi-même perdre dans ses mots…

Je sais qu’il resterai toujours quelqu’un de mystérieux, quelqu’un de forte impression, dont chaque instant pour lui…à de nouvelle chance, des rencontres, des sourires, des colères, de joie….

Tout cela fera de lui un livre dont on a tous tendance à le lire… j'aimerais tant te voire un jour ... 

mardi 24 avril 2012

un jour on se rencontrera ...





Un jour on se rencontrera, un jour on se croisera dans l’immense certitude, pour croire a nos destins, qui durent à jamais vainqueurs, d’un amour et des sacrifices aussi…

 Nombreux sont ceux qui, au cours de ma vie, m’ont conjugués le verbe aimer, a son réel temps, ils m’ont tant consacrés leurs cœurs, et me donna une faiblesse, celle de ne pas trouver une récompense à leurs cœurs qualifiés comme amour de ma vie…
Je me suis retrouvé dans les cœurs de ses gens là, perdue au fond de leurs existences, sans jamais m’en sortir perdante, car leurs fonds étaient si vastes que j’aurais dû disparaître à leurs places…
Un jour on se rencontrera, un jour on se croisera dans l’immense certitude, pour voire vos yeux éblouis, que j’ai tant de fois complimenter leurs couleurs et leurs grandeurs, et que j’ai tant de fois sécher leurs splendeurs… comme j’ai tant de fois dis je t’aime…
Et je m’approcherais de vous, pour tenir vos mains, qui semblent qu’une partie de la terre, et si j’ose dire aussi la  poussière… c’est vrai, que j’ai toujours eu conscience de l’existence de ses amours suprêmes, car tout ce que dont je retiens, décrive ma personnalité, décrive aussi mes expériences, mes habitudes, qui font de moi une fille avec toute ses défauts et qualités …
Ma mémoire variée vos présences, et tient a vous dire que, ma vie est construite grâce a vous, et que toutes années perdus, témoigne votre éloignement de la vie, et témoigne aussi mon approchement a vous… vous mes chers imperceptibles, esprit nobles et élevés….et maintenant que je vous vois que dans le rêve, je me dis des fois : ou sont passés tous ses soirées ensembles, dans une table ronde, rangées les corps et les cœurs, pour faire un seul être avec ses aveux, et c’est à ce moment qu’on saura la valeur familiale, le matérialisme était absent à l’autrui, seul l’amour régnait.. Et le cœur témoignait ses milles battements de chaque plaisir avec vous, mais on se rendait compte, qu’au moment de votre disparition…
  

vendredi 20 avril 2012

l'art de la solitude


La solitude est un art… qui nous pousse à écouter nos cœurs…comme pour écouter nous même… la solitude rend l’âme amoureux de ses sentiments, ce qui prouve son pouvoir..         Relier l’art avec nous même…
Mais ma solitude… craint beaucoup sa perte… car sans elle je n’oserai écrire mes peines… je n’oserais écrire mes joies… écrire le temps perdu, par des milliers de mot, comme par milliers de larmes… tous dans une page blanche… créant les mots pour rendre un texte.. Livre de moi-même… tant de confidence, et tant de ravage…
Prendre un pinceau, mélanger de multiples couleurs et donner… un tableau d’une création magique et éternelle … chanter et troubler la voix en rendant les larmes plus réalistes…
La solitude est un art qui provoque l’amour de soi, l’amour d’autre… aimer des dames et des hommes sans cesse… relier les cœurs.. Faire une naissance et une vie à un enfant.. Qui deviendra par le temps amour du temps
…. 

mardi 17 avril 2012

ma ville


Ma ville… ressemble un peux à ma mémoire, qui a tant inspiré l’air, dansée jusqu'à son terme  tout comme pour  remonter le temps « de ses gens battants »,  laissant leurs souvenirs comme des histoires, qui ont tant crée de lois,  et qui ont tant fait de proie…afin de donner droit, a un peuple que je ne connais pas….
 Maintenant quand je vois leurs ruines,  je crois en eux, comme je crois en moi…
C’est que ma ville ne ressemble qu’à ma mémoire, quand elle se sent perdus par toutes ses actions tantôt terrifiante et tantôt joyeuse à la fois…
Sa beauté crée sa fortune…qui attirait  les malveillants, et les soupirs des gens, laisser sa fierté la rendre révoltée par le courage des guerriers... et les martyr au fond du sable, témoigner leur foi… leurs saint esprit arrose la terre, comme pour arroser mon chemin, …   

dimanche 15 avril 2012

une leçon que j'ai apprise à l'age de 18ans


Une leçon importante, que je l’ai apprise pendant mon voyage à cet age de dix huit ans….

Pour toute vie, j’ai que dix huit ans, l’age où on espère beaucoup, faire preuve de l’existence, et aimer sans craindre son absence.... je sais que pendant ses dix huit années, j’ai dû apprendre beaucoup de chose, se sont touts des habitudes qui ont devenus avec le temps des expériences, caressant le temps perdus, pour venir  chercher les réponses de toute fait inattendus…
Je ne perds jamais mon enthousiasme… car je sais que dieu est toujours là pour nous guider les pas,
j’ai aimé plusieurs personnes, autant plus que soi, et c’est toujours ma raison de mon réveil le matin… sachant qu’il y a toujours quelqu’un qui m’attendra un jour … selon moi, rien n’est carrément perdu sur terre…
Et la vie est ainsi, destinée à nous, comme dans un livre… et chacun est seul à prouver sa vois, comme on le fait souvent avec nos pieds et nos mains…pour construire nos principes et nos raisons de vivre…
J’ai du croire à tout, pour croire à moi, une fille faite de chaire et d’os, d’une cervelle et d’un cœur solitaire, qui aime voyager, décoller d’un bout des rêves, aller jusqu'à ma vieillesse, voire un peu de ma tendresse, et revenir avec mon premier chant, pour écrire ma dernière leçon…
J’aime voire la brillance d’étoile, pour connaître la beauté de l’obscurité, qui nous fait tant réjouir, tel un aveugle, poursuivant sa route dans le noire, mais réagissant d’une manière spécifique, qui traque le cœur au fond de son esprit, croyant à tous ses sentiments, jouissant son rôle au fond de son corps, comme une étoile, qui donne une lumière et l’aide a suivre son cœur et ses pas en derniers…  
Puis l’aube se montrera, rayonner la terre d’un point de lumière… et poussent les oiseaux à ouvrir leurs ails, et à couvrir plusieurs km, faire un long voyage, pendant que nous dormons, ils traverseront les périples… sans expérience, sans guide... seuls avec leurs ails, s’inciteront  vers l’inconnu, ce sont des migrateurs, que j’aime bien les regarder, leurs faire ma part de charité, je me demandais des fois, de ses oiseaux là, qui n’ont point d’intelligence ni de calcules, comment peuvent-ils faire faire leurs chemins ? …   c’est à ce moment là que j’ai compris que dieu est seul à nous guider nos pas… 

N'ont-ils pas vu les oiseaux assujettis [au vol] dans l'atmosphère du ciel sans que rien ne les retienne en dehors d’Allah ? Il y a vraiment là des preuves pour des gens qui croient. (Sourate an-Nahl, 79)

jeudi 12 avril 2012

phénix précieux


J’ai vu un corbeau,
Dont sa couleur donnait la rage au jour, comme une partie de nuit venant visiter la lueur d’hiver,  c’est un phénix perdu dans les nuits des temps, qui s’endorme et se réveil sans se soucier de lendemain, il reconnaît sa couleur, puisqu’il vient faire l’ombre d’un inconnu,  tenant un aspect au fond de son ramage… mais pour moi il reste un oiseau malin, précieux d’un coté,  qui ne cache jamais sa présence… pour séduire sa partenaire en parade, tout en faisait un long sonore d’amour et de tendresse… je crois en avoir entendu le chant solitaire, malmenant le vent de force… caressant les arbres au long de son altitude.. Sans craindre l’aptitude, et il retourne chez soi, et vint se poser au creux de son chemin, de ses plumes couleur de nuit, brillant comme une étoile enflammé, majeur et protesté d’avoir été le meilleur ennemi de patriciens … c’est alors que je l’ai reconnu, aperçu au ciel, comme une merveille de se beau jour d’hiver     

mercredi 11 avril 2012

la mer


La mer semble calme et claire, reflète la paix dont on se noie dans sa transparence, et on tombe dans l’espérance de faire un long voyage, dont l’espoir nous fera traverser les profondeurs et les vagues dangereuses, c’est un espoir assassin, qui bat des milliers de gens traînant dans la mer affamée… et le regard s’éloigne d’un pays à un autre, tous disparus au fond de l’inconnu et tombent sous forme de larmes brûlantes, « c’est dû à notre cœur enflammé »
Et tous comblaient les vœux, afin de retrouver leurs chers compères, et clamer la fièvre ardente
D’autre était solitaire, braves et maîtres de leurs choix,  amoureux de se soleil couchant et qui diminuera la couleur de leurs patrie, …qui s’en va …  
Ils allaient tous quitter leurs pays, mais chacun tenait une fleure dans leurs mains, qui n’était rien qu’une ambition d’un avenir proche,
Quant a moi, je n’étais rien qu’une admiratrice de ce paquebot portant de différentes intuitions, dont le hasard rendait le bateau cosmopolite, et qui faisait de lui l’ombre des couleurs en assemblage, il convient en allumant la bougie qu’ait une bonne naïveté, en me faisant réviser mes souvenirs d’un temps d’hier, commémorer les plus loin chant d’hiver, mais  on ne pouvait toucher cette flamme, car on savait qu’elle blessait les chaires, sans nous reconnaître…
 Mais contempler une chandelle, me faisait perdre dans sa flamme dynamique, vivante et mère de la nostalgie, comme se bateau qui se perdait en plein océan …
C’est un grand pas à mener, vers un temps disparu tel le pays perdu…. 

dimanche 8 avril 2012

mon chemin


Aujourd’hui la route n’est pas comme d’habitude…elle est telle une montagne à grimper, elle est telle ma peine que je ne trouve plus son remède….  aujourd’hui les arbres ont perdus leurs feuillages… qui font de mon chemin un délit, pleins de mirage… d’un départ qui me revint de jour en jour le soleil levant, c’est une route qui ne mène nul ailleurs que dans la transparence d’un amour indéfini… 
Tout dont je retiens de ce chemin, c’est l’image d’un temps orphelin, d’un amour passager, qui fut un temps idéal pour moi,…une période qui m’a tant réjouie de charme et de tendresse…sous nos baisers cette terre s’est animée, tout en faisant l’art de se chemin 
Mais un matin d’un temps d’hiver, à mon réveil surprenant, qui a surpassé l’ombre d’un visage reconnu d’avoir été mon arme « d’une nuit effrayée »… inattendu de son départ…qui me quittait d’un coup de vent, soufflant notre histoire dans cet endroit, dont les souvenirs remontent tous les jours… que je le nomme aujourd’hui un temps orphelin, c’est une des traces du passé qui font du présent un enfer… et jusqu’au bout de future, je crierais ta présence dans l’espoir de te retrouver un jour, dans cette route qui ne mène nul ailleurs que dans l’amour infini



vendredi 30 mars 2012

toi mon roi ..

Mes lèvres ne parlent qu’en silence, et mes yeux en jouissance de cet amour en absence…… Qui arrose mes joues de pluie et de flot… serait-elle une délicate pensée de mon amour à moi ? Que j’ai tant de fois dis je t’aime… et qui m’a tant de fois cassé la voix, de n’avoir pas été admis à son cœur de cet amour qui est en moi…
Je suis qu’une fille amoureuse de toi,
De ton cœur,
De ton corps,
De tes yeux,
Et de ta voix
Et je me déchire sans toi, comme je meurs seule sans ange,
A travers l’ombre de mes pas, je te vois de loin un homme libre de choix
Qui s’en va, et revient d’un cœur emballé de joie, de tous ses amants là…
Qui n’ont qu’un cœur donné a deux fois…
Et moi perdue seule dans les cœurs des gens sans même y reconnaître mon endroit
Qui ne trouve nul ailleurs que dans ton cœur à toi…
Même si je songe des fois…de ma folie qui te rend roi...
Je veux que tu retiennes mon amour qui est telle une histoire sans personnage
Car ta perte me laisse sans peau, sans voix, sans toi… Car tu fais parti de moi
Même si je songe des fois… de ma folie qui te rend roi…